1. Identité
2. Modèle de la femmes louveau
2.1. Catherine Louveau
2.1.1. Repoussoir
2.1.1.1. "Femme viril"
2.1.1.2. Procès de virilisation
2.1.1.2.1. Signe sexuel secondaire masculin
2.1.1.2.2. Considéré comme androgynes
2.1.1.2.3. "Garcon manqué"
2.1.2. Positif
2.1.2.1. "Femme mère"
2.1.2.1.1. fonction maternel
2.1.2.2. "Femme bel objet"
2.1.2.2.1. fonction esthetique
2.2. Caractéristique
3. Socialisation
3.1. Socialisation sportive Mennesson
3.1.1. Socialisation sexué inversé
3.1.1.1. Le père
3.1.1.1.1. Père incite au sport compet
3.1.1.1.2. Père transmet ca pratique
3.1.1.2. Pairs masculin
3.1.1.2.1. Dénigrement du feminin
3.1.1.3. Configuration familiale
3.1.1.3.1. Opposition avec Repartition sexuée des taches
3.1.1.3.2. "Garcon manquant"
3.1.1.3.3. Socialisation par les freres
3.2. Socialisation differentiel en fonction du genre cabagno et Rascle
4. Masculin
4.1. Sociologie du travail
4.1.1. "Castration sociale"Djaouida Séhili
4.1.2. Ppostures au travail dans la modernisation professionnel sehili
4.1.2.1. Enchantés
4.1.2.2. Oopportunistes
4.1.2.3. Les constructifs
4.1.2.4. Les exaspérés
4.1.2.5. Les desespéré
4.1.3. Les homme ont du mal a accepter le changement
4.1.3.1. les inegalité femmes hommes
4.1.3.2. "Backlash"Faludi
4.1.3.3. Chomage et mnde du travail actuel nuissent au masculin -->Psychodynamique du taff
4.2. Masculinités
4.2.1. Masculinité "hégémonique"
4.2.1.1. "la masculinité hégémonique présente des caractères qui ne sont pas très éloignés des stéréotypes du « vrai » homme, celui qui fonde idéalement l’ordre patriarcal" Terret
4.2.1.2. Outils pour repéré la masculinité hégémonique selonr Nick Trujillo (2000)/ Terret
4.2.1.2.1. L'expression et le contrôle du pouvoir et de la force physique
4.2.1.2.2. La réussite professionnelle.
4.2.1.2.3. La hiérarchie familiale.
4.2.1.2.4. Le désir d’ouverture
4.2.1.2.5. L’hétérosexualité
4.2.1.2.6. La domination des hommes sur les femmes
4.2.2. masculinité « subordonnée »
4.2.2.1. "masculinités qui se trouvent clairement dans une position dominée, voire même opprimée" Terret
4.2.3. Masculinité « complice »
4.2.3.1. " individus agissent quotidiennement par de multiples ajustements qui leur permettent de concilier la définition de la masculinité hégémonique et la réalité qui est la leur au sein de leur environnement familial ou professionne" Terret
4.3. Virilité
4.3.1. "désigne l'expression collective et individuelle de la domination masculine et ne saurait donc constituer une définition positive du masculin" p Molinier
4.3.2. Déni de la souffrance masculine
4.3.3. "L'homme viril est fragil" p mol
4.3.4. Modalité du corps et subjectivité
4.3.4.1. "La défense viril" p mol
4.3.4.1.1. la virilité est avant tout une défense mobilisée contre la souffrance dans le travail
4.3.4.1.2. Produit des rapport de domination contre singularité
4.3.4.2. "Masculinité creatrice"
4.3.4.2.1. L'auteur d'une œuvre est reconnu pour son génie personnel ; son pouvoir de création conforte son appartenance au groupe social des hommes
4.3.5. "Muliérité" Christophe Dejours
4.3.5.1. l'aliénation de la subjectivité féminine dans les stéréotypes de la féminité socialement construite et dans la soumission
4.3.6. « normopathie virile » (Dejours, 1988)
4.3.7. "Crispation viriliste" Welzer
4.3.7.1. Ne pas pouvoir montrer ca viriliter
4.4. Structuré autour d'un double paradigme Welzer-Lang
4.4.1. "La pseudo nature"
4.4.2. "Les rapports entre hommes"
4.4.2.1. " la violence que les garçons vont mettre en place contre les filles, et contre les femmes plus tard, est d’abord apprise dans les rapports entre hommes. "
4.5. Domination
4.5.1. Comme le suggérait Nicole-Claude Mathieu, les hommes dominants ne connaissent pas les effets de la domination vécus par les dominées
4.6. Le masculinisme
4.6.1. ) Le masculinisme, qui n’est pas un mouvement unifié, peut se définir comme un écho réactionnaire face aux revendications égalitaires féministes. Dans une analyse refusant le paradigme
5. Role sociaux
5.1. "Un ensemble de comportements attendus et jugés appropriés pour un individu occupant une certaine position dans un groupe donné" Cabagno et Rascle
5.1.1. Les attentes et normes lié à un groupe social va inflé sur les comortement acceptable ou non dans une société
5.1.1.1. "homme et femme s'approprient les pratiques en fonction des attitudes,des normes, des valeurs socialement acceptées par leur groupe de reference,c'est à dire en fonction de leur genre"Louveau 1991
5.2. Role de la femme
5.3. Role de l'homme
6. Sociologie de l'individu
6.1. Analyse structurale dans l'entretien
7. Les encadrant(e)s
7.1. Guerandel
7.1.1. "Disposition de genre"
7.1.1.1. Apparence
7.1.1.2. Rapport de séduction
7.1.2. Competence relationnel
7.1.2.1. Le "care" (le soin et la proximité)
7.1.2.2. " l’autorité" (le pouvoir d’imposer l’obéissance)
7.1.2.2.1. Loi du plus fort
7.1.2.2.2. Attitude désinvolte
7.2. Feminisation de la profession
7.2.1. "Proportion des femmes en croissance regulièe (14 % en 2003, mais la promotion de nouveaux surveillants recrutés la meme année comprenait 27% de femmes)" Combessie
7.3. Profil du personnel surveillant Combessie
7.3.1. Peu d'etude sur l'origine du personnel penitentiaire
7.3.2. Ils viennent le plus souvent de milieu ruraux
7.3.3. On ne connait que leur age lieu de naissance et le sexe
7.4. Diplome
7.4.1. Elevation du niveau de diplome pour l'accès au statut de surveillant penitantiaire : voir "evolution de la repartition ,en pourcentage des candidats recus au concourt de surveillant penitantière selon le niveau universitaire" Frenot et Gras
7.5. Le moniteur de sport
8. Sport
8.1. Emancipation (appologie)
8.2. Alienation (critique)
8.3. Stigmatisation
8.4. Identité masculine du sport Cabagno
8.4.1. "Le sport, originellement , à un sexe, il est masculin" Louveau 1991
8.4.1.1. Les sports co sont considéré en majorité comme ceux à caractéristique masculin d'après une etude (Coulomb 1996)
8.5. Agressivité
8.5.1. "Un aatribut de l'individus ,un facteur de personnalité traduisant une disposition à porter atteinte à l'integriter physique ou morale d'autrui, l'agressivité etant la manifestation comportemental" Cabagno
8.5.1.1. Liaison avec motivation de l'individu Nicholls 1984
8.5.1.1.1. But de maitrise
8.5.1.1.2. But de competition
8.5.1.2. "Dans la plupart de nos sport populaire, l'atteinte de l'objectif(marquer des buts et marquer ) est fonder sur une utilisation efficace de la violence" Messner 1990 p203
8.5.2. Caracteristique de la femmes comparé à l'homme
8.5.2.1. Femme accord plus d'importance au fair play allison 1982
8.5.2.2. Tendance à desaprouver la "violence" Irlinger 1993
8.5.2.3. Accepte moins les comportement illlicite commee légitime Bredemier 1985
8.5.2.4. Ces caractéristiques ne sont pas equivoque partout exemple du handball
8.5.2.4.1. Agression identique que ce soit h ou f
8.5.3. Homme et femmes subissnet "effet de forces contextuelles (importance de la victoire) ,qui sont si fortes qu'elles surpassent l'impact des orientations de fair-play et deviennent des déterminants principaux du comportement" Vallerdand,Deshaiees 1997
8.5.3.1. "Attention tout de meme car ce modèle concerne surtout les pratiques assez feminiser ce qui ainsi ne peux s'appliquer pour l'instant au football" Cabagno 2001
8.6. Masculinité
8.6.1. Ce qu'il faut prendre en compte pour analyser la masculinité Terret 2001
8.6.1.1. Le contexte général et la période
8.6.1.2. La situation spécifique analysée
8.6.1.3. La discipline sportive
9. Origines sociales
9.1. Politique en place
9.1.1. Stereotypes sexuées
9.2. Les encadrant(e)s
9.3. Violence
9.3.1. La "crapuleuse"
9.4. Integration
9.5. Surdetermination de la postion de sexe par la position sociale
10. Discrimination
10.1. "Hierarchie sexuée"
11. Prison
11.1. Integration
11.2. Identité genré
11.2.1. Race
11.3. Gardien
11.4. Insertion
11.5. Violence (criminologie colette Parent)
11.5.1. "N'est pas un comportement feminin"
11.5.1.1. "On parle de femmes malade"
11.5.1.2. Les femmes ce designe plus comme femmes en colère
11.5.2. Si coupable dans loi penal aussi coupable symbolique
11.5.3. Les féministes montrent une DERESPONSABILISATION des femmes dans leur crimes
11.5.3.1. Plus grande psychologisation des crimes feminins
11.5.3.1.1. Femmes victime diff femmes responsable de violence
11.6. Differenciation de genre
11.6.1. "les femmes sont toujours minoritaires parmi les personnes poursuivies à chacune des étapes du processus pénal, et leur proportion ne cesse de diminuer tout au long de la chaîne pénale (elles représentent 14% des personnes mises en cause par la police et la gendarmerie; 12% des personnes mises en examen; 10% des personnes condamnées et 5% des personnes entrant en prison)" Coline Cardi 2007
11.6.2. Le droit ne produit pas que – ou même avant tout – de la discrimination, il produit plutôt de la différenciation. Le genre se fonde sur ce travail constant et multiple de différenciation (Laberge, 1992, 275)
11.6.2.1. Si les acteurs pénaux ferment les yeux sur les comportements délictueux des femmes qui se conforment aux attentes liées aux rôles féminins, ils sont en revanche plus sévères à l’égard de celles qui ne s’y conforment pas (Chesney-Lind, 1978)
11.6.3. , le même comportement problématique attribué à un homme ou à une femme peut donc être analysé et traité différemment et/ou avoir un impact différentiel(Parent, 1992, 313).
11.7. Déviance
11.7.1. 3 parcours de déviance féminine qui se distinguent Cardi 2001
11.7.1.1. «cliente déviante
11.7.1.1.1. . ell se caractérise, du point de vue du parcours social, par la désaffiliation (Castel, 1995)
11.7.1.2. «criminelle conforme»
11.7.1.2.1. , les détenues qui ont connu ce parcours ne sont pas désaffiliées:elles sont au contraire relativement bien insérées dans l’une ou l’autre
11.7.1.3. «hors cadre/hors genre»
11.7.1.3.1. rien dans les caractéristiques sociales de ces détenues ne peut donner une «explication sociologique» de leur incarcération, c’est en ce sens que nous les avons désignées comme «hors cadre».
11.7.1.3.2. Leurs caractéristiques sociales – très fort capital culturel et/ou haut niveau d’intégration professionnelle – les distancient fortement de la clientèle pénale. Souvent diplômées, voire très diplômées , ces femmes présentent l’organisation de leur parcours de vie autour de leur «carrière».
11.8. Lgique d'enfermement selon COMESSIE
11.8.1. L'enfermement de neutralisation
11.8.1.1. "Tenir à l'ecart les individus qui peuvent nuir à la société"
11.8.2. L'enfermement de differenciation sociale
11.8.2.1. "Offre au plus demunie une formation qui va leur permettre de mieux s'inserer dans la société"
11.8.3. L'enfermement d'autorité
11.8.3.1. "Relation de pouvoir"
11.9. Justification de la sanction selon COMBESSIE
11.9.1. L'expiation
11.9.1.1. "faire souffrir l'autre à la hauteur de son crime"
11.9.2. La dissuasion
11.9.2.1. tourné vers l'avenir, role de punition, preventive"
11.9.3. La neutralisation
11.9.3.1. "empecher le coupable de comettre d'autres infractions"
11.9.4. La readaptation
11.9.4.1. "Permettre au coupable de reagir,s'ameliorer pour etre reinserer"