1. III. Les oppositions au modèle républicain proposé
1.1. Les ennemis du régime républicain
1.1.1. La crise boulangiste (1887-1889)
1.1.1.1. Crise économique importante
1.1.1.2. Volonté d'un pouvoir exécutif fort, antiparlementarisme
1.1.2. Le mouvement anarchiste
1.1.2.1. Scandale de Panama
1.1.2.2. Attentats en 1893-94
1.1.2.3. Répression des anarchistes et limitation de la liberté de la presse
1.2. La lutte contre l’antisémitisme
1.2.1. L’affaire Dreyfus
1.2.1.1. Capitaine condamné à tort pour espionnage en 1894
1.2.1.1.1. Origine alsacienne et juive : coupable idéal
1.2.1.2. Défense par Emile Zola ("J'accuse")
1.2.2. Dreyfusards et antidreyfusards
1.2.2.1. Dreyfusards : liberté, contre l'antisémitisme, Lige des droits de l'Homme
1.2.2.1.1. Création du parti radical
1.2.2.2. Antidreyfusards : armée, Eglise, antisémites
1.2.3. Combat politique socialiste
1.2.3.1. Volonté de réformes et de combat contre ordre monarchique établi à Versailles
1.2.3.2. Fort sentiment nationaliste, revanche
1.3. Un mouvement ouvrier puissant
1.3.1. Structuration et organisation des syndicats
1.3.1.1. Division en deux camps
1.3.1.1.1. Création de la CGT : syndicalisme révolutionnaire
1.3.1.1.2. 1905 : création de la SFIO
2. I. La conquête du pouvoir par les Républicains (1870-1879)
2.1. Un pays déchiré et occupé
2.1.1. Guerre contre la Prusse
2.1.1.1. Gouvernement de Défense nationale
2.1.1.2. Paris encerclée
2.1.1.3. Revendications sociales très fortes
2.1.1.4. Traité de Francfort 10 mai 1871
2.1.1.5. Février 1871 : élections remportées par les royalistes
2.1.1.6. Pouvoir législatif avec une forte influence sur le pouvoir exécutif
2.1.2. La Commune de Paris
2.1.2.1. Capitale encerclée mais veut poursuivre le combat
2.1.2.2. Nombreuses grèves et mouvements violents
2.1.2.2.1. Figure de Louise Michel
2.1.2.3. Féroce répression : "Semaine sanglante" en mai 1871
2.2. Monarchie ou République?
2.2.1. Une majorité royaliste
2.2.1.1. Division entre légitimistes et orléanistes
2.2.1.2. Mac Mahon élu président : noble et royaliste
2.2.2. Reconquête du pouvoir par les républicains
2.2.2.1. 1875 : amendement Wallon sur le maintien de la République
2.2.2.2. Février 1876 : victoire républicaine aux législatives
2.2.2.3. Majorité républicaine et socialiste élue à Paris
2.2.2.4. Nouvelle victoire en octobre 1877 : démission de Mac Mahon en 1879
2.2.2.5. Jules Grévy président
3. II. L’enracinement de la République (1879-1914)
3.1. Une démocratie parlementaire
3.1.1. Les institutions de la IIIe République
3.1.1.1. Président renonce au droit de dissolution
3.1.1.2. Chambre des députés dominante
3.1.2. Des libertés fondamentales
3.1.2.1. 1881: lois sur la liberté de la presse et liberté de réunion
3.1.2.2. 1884: liberté syndicale et élections municipales au suffrage universel masculin
3.1.2.3. 1884 : la loi qui interdit tout retour à la monarchie ou à l’Empire
3.1.2.4. 1884 : syndicats autorisés par la loi Waldeck-Rousseau
3.1.2.5. Mais pas de droits politiques pour les femmes malgré les demandes
3.2. Construire une nouvelle nation
3.2.1. Symboles et fêtes républicaines
3.2.1.1. La Marseillaise hymne national en 1879
3.2.1.2. 1ère Fête nationale le 14 juillet 1880
3.2.1.3. Drapeau tricolore confrimé
3.2.1.4. Devise "Liberté, Égalité, Fraternité" s'impose à partir de 1880
3.2.1.5. Généralisation de la figure de Marianne
3.2.1.6. Funérailles nationales de V. Hugo au Panthéon en 1885
3.2.2. Laïcisation de la société
3.2.2.1. 1881-1882 : école primaire obligatoire, gratuite et laïque pour les enfants de 6 à 13 ans
3.2.2.2. 1901 : loi sur les associations, contre les congrégation religieuses
3.2.2.3. 1905 : loi de séparation des Églises et de l’État => sécularisation de la société mais tensions
3.2.3. Construire les citoyens français
3.2.3.1. Programmes scolaires centrés sur français, sciences, géographie et histoire du pays
3.2.3.2. Instituteurs «hussards noirs de la République»
3.2.3.3. loi de 1889 : service militaire de deux ans obligatoire
3.2.3.4. Brassage et esprit patriotique exacerbé par l'armée