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Etat Door Mind Map: Etat

1. défis

1.1. les guerres

1.2. les flux transnationaux

1.3. terrorisme

1.4. état faillis

2. organisation politique et souveraineté étatique

2.1. soiuveraineter

2.1.1. interne

2.1.2. externe

2.2. souveraineté

2.2.1. interne

2.2.2. externe

3. Défiir l'Etat

3.1. Territoire étatique

3.1.1. L'espace terrestre

3.1.1.1. Un État est limité par ses frontières. La frontière est une ligne qui délimite l’étendue de l’application des compétences des États. Il y a trois façons, plus ou moins consensuelles, de procéder à la délimitation de la frontière :

3.1.1.1.1. la délimitation unilatérale. Elle concerne uniquement la séparation entre une partie du territoire national d’un État et un espace international. C’est le cas pour les espaces maritimes qui doivent relever de la juridiction des États côtiers.

3.1.1.1.2. la délimitation conventionnelle. Dans ce cas, la frontière est tracée quand un accord a été conclu entre les États sur la séparation de leurs territoires. Elle peut concerner aussi bien les domaines terrestres que maritimes.

3.1.1.1.3. la délimitation peut être arbitrale ou juridictionnelle. En général, on a recourt à ce genre de délimitation quand les négociations n’ont pas pu aboutir et sont dans une impasse. Pour déterminer les frontières entre deux ou plusieurs États, on décide alors de faire appel à un juge ou à un arbitre international pour résoudre les différends entre les États.

3.1.1.2. Il y a aussi plusieurs techniques de fixation des frontières. Pour fixer les frontières, pour les dessiner, les États vont souvent essayer de trouver tous les éléments qui vont permettre de justifier ou de faciliter le tracé, comme des éléments naturels ou historiques.

3.1.1.2.1. les frontières naturelles.

3.1.1.2.2. quand on manque d’éléments naturels, on va tracer des frontières artificielles, comme cela a été le cas en Afrique, notamment dans les régions désertiques. Dans ce cas, le tracé de la frontière va suivre une ligne géométrique, le long d’un méridien ou d’un parallèle

3.1.2. L’espace maritime

3.1.2.1. Les eaux intérieures : Ce sont des espaces marins qui sont compris comme inclus dans l’espace terrestre. Sur ces eaux intérieures, on considère que l’Etat exerce la plénitude et l’exclusivité de ses compétences, comme sur les espaces terrestres.

3.1.2.2. La mer territoriale, c’est un espace maritime qui prolonge le territoire terrestre. Et cette codification a donné lieu à ce que l’on appelle maintenant « la règle des 12 milles marins ». Cela corresponds à une bande côtière de 2km et 200 mètres

3.1.2.2.1. Sur cette mer territoriale, l’État va exercer pleinement ses compétences souveraines, tant du point de vue économique – avec par exemple l’exploitation exclusive des ressources minérales ou de la pêche –, que du point de vue de la sécurité – avec notamment la question de la douane, ou encore celle de la protection de l’environnement.

3.1.2.3. La zone contiguë : C’est la zone qui suit la mer territoriale. Elle fait aussi 12 milles.

3.1.2.3.1. l’État n’exerce pas de droits souverains. En revanche, il a des compétences de contrôle, de police, pour prévenir des infractions qui pourraient être commises ensuite dans sa zone de souveraineté.

3.1.2.4. La zone économique exclusive (ZEE) C’est la zone la plus large, puisqu’elle fait 200 milles, à partir de la côte

3.1.2.4.1. l’État dispose de droits souverains et exclusifs, et notamment de droits qui peuvent être exclusifs comme la liberté de survol aérien, ou encore la liberté de poser des pipelines sous-marins. Les États ont là des droits exclusifs sur tout ce qui concerne l’exploration, l’exploitation, la gestion des ressources économiques, et notamment des ressources naturelles. Évidemment, cela représente des enjeux économiques considérables.

3.1.2.5. Le plateau continental est un prolongement sous-marin de la zone terrestre.

3.1.2.5.1. il a été décidé que le plateau continental ne pourrait pas dépasser la zone des 200 milles, c’est-à-dire la zone économique exclusive. Quand il n’y a pas de plateau continental, l’État a donc aussi le droit d’exploiter les ressources en sous-sol sur cette zone de 200 milles (370,4 kilomètres).

3.1.2.6. La zone de haute mer : l’espace maritime de « haute mer » n’appartient à personne, à aucun État. On dit que la « haute mer » est un espace internationalisé.r.

3.1.2.6.1. il y a une absence totale de souveraineté. Aucun État n’a le droit de soumettre une partie de la haute mer à sa souveraineté. Sur cette zone, c’est le régime de la liberté qui prévaut : liberté de navigation, liberté de survol, liberté de pêche, etc. Dans cette zone, les États ne peuvent contrôler que les navires qui battent leur pavillon.

3.1.3. L’espace aérien Pour l’espace aérien, c’est plus simple : on considère qu’il correspond aux frontières terrestres et maritimes des États.

3.2. population

3.3. régime politique

3.3.1. démocratie

3.3.2. autocratie