1. Thématique 1: 17 sustainable development goals
1.1. Les mots-clés: Zero Hunger
1.2. Source: Site interne, Org/sustainable Developments , goal 2: Zero Hunter
1.2.1. Résultat: C'est un des 17 objectifs établis par les US pour établir un monde meilleur. Depuis 2015, il est en hausse après des années de baisse. Le COVID ne va rien aider. En 2030 sur ce rythme nous serons à 840 billions. Pour changer cette courbe, de nombreuses mesures sont prises afin d'encourager les initiatives des producteurs, leurs rendements...et en 2030, de nombreux objectifs sont dictés, comme le fait de doubler les revenus des petits producteurs ainsi que leur productivité.
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1.2.1.1.1. Mots-clés: FIDA
1.2.1.1.2. Source: IFAD Youtube
1.2.1.2. Lien vers article similaire
1.2.1.2.1. Mot-clés: UNPD, financement
1.2.1.2.2. Source: UN Development Programme; "Fresh, local food in Botswana: “We are ready to meet this demand.”
1.2.1.3. Résultat: Fond internationale de développement agricole qui aide des populations en difficultés à développer leurs productions agricoles. Ici, ils aident une femme, un objectif important du Zero Hunger, a développé une activité maritime. Ils font des formations afin d'augmenter la conservation des produits, des formations sur la négociation...bref un tout permettant également d'améliorer leur business margin, et donc leur revenu.
2. Thématique 2: Global environment facility
2.1. Les mots-clés : financement et GEF
2.2. Source: The GEF.org, les produits de bases
2.2.1. Résultat: Plus de 1.5 milliards de personnes dépendent de la forêts, mais 7.6 millions d'hectares disparaissent de fôrets tropicales. Pour changer cela, la FEM a crée le GPP en 2017. Ceci permet au petit producteur, majoritaire dans l'exploitation indirecte de la fôret, d'avoir des fonds pour changer leurs habitudes et s'inscrire dans une économie plus durable.
2.2.1.1. Lien vers article similaire
2.2.1.1.1. Mots-clés : GPP
2.2.1.1.2. Source:
3. Thématique 4: COVID, et risque sur les revenus, le cas des marchés
3.1. Mots-clés: COVID et petits producteurs
3.2. Source: LaCroix
3.2.1. Résultat:: Le COVID semble avoir de nombreux impacts sur les petits producteurs, de tout pays. En france, la supression des marchés à un impact énorme, ceux-ci ne pouvant les vendre, et avec un stock plein et une trésorerie parfois négative, ceux-ci devant payer une main d'œuvre pour récolter. Ainsi, le COVID à des effets contraires à l'augmentation des revenus des petits producteurs
4. Thématique 3: Approfondissement de la Thématique 2, le développement d'une culture durable en faveur des petits agriculteurs.
4.1. Mots-clés: Une production durable
4.2. Source: GoodGrowthPartnership
4.2.1. Résultat: La déforestation est du à la production agricole, mais l'agriculture est un moyen de subsistance à plus de 40% de la population mondiale. C'est la plus grande source de revenus et d'emplois pour les ménages ruraux ! Ainsi, il y a 3 stratégie nationale et régionale qui permette de former systématiquement les petits agriculteurs en masse. Et plus de 6000 agriculteurs formés aux pratiques agricoles durables avec GGP.
5. Thématique 5: COVID, et ses potentiels impacts sur les régions les plus pauvres du mondes
5.1. Mots-clés: COVID , nourriture et producteur
5.2. Source: Google, WFP
5.2.1. Résultat: Le COVID à de nombreux impacts comme l'on peut s'en douter, mais essentiellement sur les pays en développement ou pauvres. Il affecte les petits producteurs par la hausse des prix, et des interruptions potentielles de la supply chain. Certains pays ressentent déjà une perte de valeur de leur monnaie. Tout ceci impacte les petits producteurs, se voyant perdre en pouvoir d'achat et en revenu. Les pays importeurs ( avec l'exemple des céréales) en pâtissent le plus, mais exporter est également impacter ( procédures...). Aussi, les transports deviennent plus chers, des procédures sont ajoutés...Bref on comprends indéniablement que le COVID impact les revenus, et le pouvoir d'achat.
6. Thématique 7: Approfondissement des répercussions du COVID sur les petits producteurs
6.1. Mots-clés: Producteur et marché: covid
6.2. Source: google, FAO
6.2.1. Résultat: Le COVID, et toutes crises de manière générale ( EBOLA par exemple) impacte grandement en premier lieu les petits producteurs, et leurs revenus. Que cela soit de par une difficulté d'accéder aux marchés, un changement de demande des consommateurs ( moins de fruits, légumes..), la fermeture des lieux publics ( incidence sur le lait par exemple) ou encore une pénurie de main d'œuvre...les petits producteurs sont grandement impactés dans leur revenue. Il faut de sorte des mesures financières qui sont effectuées, mais également des mesures visant à améliorer l'accès des petits producteurs aux intrants et services agricoles, ce qui se fait également comme le document nous le démontre.
7. Thématique 6: Contraste entre hausse des prix et revenus des producteurs agricoles pauvres
7.1. Mots clés: Hausse des prix; Revenus agricoles
7.2. Source: FAO.org, compte rendu
7.2.1. Résultat: Ce document nous explique et nous montre pourquoi les prix des produits agricoles montent ( inflation des denrées alimentaires, taux de changes, crises...).En général, les petits producteurs ne participent pas à la même chaîne de valeur que les producteurs commerciaux, et donc ne bénéficient pas de la hausse des prix car les producteurs sont trop isolés des marchés. De plus, les intrants augmentent, annulant en partie ou totalement leur hausse de revenu, ce qui ne les incite à ne pas produire plus, et donc cela impacte le zero hunger ( un cercle vicieux). Pour qu’une amélioration de la productivité puisse conduire à une réaction sensible de l’offre, il est indispensable de mettre en place un cadre de mesures d’incitations favorables et stables afin de répercuter la transmission de la hausse des prix alimentaires au niveau des exploitations agricoles, et de donner aux producteurs les moyens de se procurer des intrants à un prix abordable et d’approvisionner le marché. Les mesures prises pour contrer la hausse des prix, zero hunter et revenus des petits producteurs étant intimement lié, sont multiples: aides de l'état, diminution des taxes sur la production, aides vis à vis des infrastructures, de l'irriguation..au niveau national et international...ce document détaillant parfaitement les différentes options possibles.
8. Thématique 8: Comment s'assurer d'un bon revenu pour les petits producteurs/ agriculteurs
8.1. Source: TECx Talks
8.1.1. Résultat: Une vidéo de Dr. Ramanjaneyulu qui est notamment un auteur, chercheur et scientifique dans l'agriculture. 52 % des ménages en inde dans l'agriculture sont endettés ( 47 000 RS). Les coût ne font que monter, que ça soit les engrais...de même, il y a un facteur immense qui limite la productivité en Inde, l'eau. Pour kilos de rios, il faut bien plus que 1kg d'eau, et la bas les petits producteurs n'ont que la pluie comme ressources en eau. Malgré l'augmentation des inputs et du prix, le rendement a stagné. Il émunère le problème des pesticides aussi 40 fois plus utilisé. Les solutions: sauver l'eau, apprendre et former les farmers sur les pesticides et autres ( il a crée une plateforme de conseil, kisanmitra). Aussi créer un réseau ou les petits producteurs vendraient directement aux clients, créer des connections au final. Une solution est aussi de sensibiliser les consommateurs sur les pesticides et autres Pour lui, s'inquiéter de ce que l'on mange, que la culture soit " sustainable" et la nourriture " healty", on périra tous et c'est un enjeu majeur. En bref, il faut réussir à réduire les coûts, augmenter le prix, augmenter la part que vont toucher les producteurs dans le prix client ( >50%), et changer notre façon de faire ( moins de pesticide) Les problèmes clés: l'accès au crédit , la taxation et la manque d'infrastructure ( organic storage facilies..)
8.2. Mots-clés: Production et revenus des petits agriculteurs
9. Thématique 9: Les conditions de vie des petits agriculteurs français
9.1. Source: Europe 1
9.1.1. Résultat: Témoignage d'agriculteurs au salon de l'agriculture, la vie de petit agriculture est rude. Il ne vit qu'avec 50 euros par mois. La PAC sauve la majorité des petits agriculteurs, avec 30 000 euros en moyenne par ans pour nos agriculteurs, mais celle-ci devrait être mieux réparties. La France est le pays offrant le plus d'aide. Des modèles qui font leurs preuves, les labels, le bio. Mais encore les circuits courts, d'agriculteur à clients ( rejoint donc l'idée de la vidéo sur l'inde).
9.1.1.1. Lien vers article similaire
9.1.1.1.1. Mots-clés: Agriculteurs français, revenus
9.1.1.1.2. Source: Google
9.2. Mot-clés: Revenus et conditions de vie des agriculteurs français
9.3. Source: Programme TV: L'amour est dans le pré
9.3.1. Résultat: Nous nous rendons compte au travers de l'aspect ludique de cette émission, que les agriculteurs français, et notamment les petits agriculteurs qui représentent essentiellement les participants, ont des conditions de vies " hasardeuses", dans le sens ou ceci n'ont pas des revenus suffisants pour vivre librement. Beaucoup vivent avec leurs parents, ne sortent jamais malgré les horaires hors-normes qu'ils font. Cela explique en partie leur présence à l'émission, ils ne peuvent rencontrer de compagne étant donné les horaires qu'ils font, et leur manque de revenu les empêchant de sortir.
9.4. Mots-clés: Agriculteurs Français
10. Thématique 10: Approfondissement de la thématique 8, les revenus des petits agriculteurs, que faire pour les augmenter ?
10.1. Mots-clés: Revenu et petits producteurs, un problème
10.2. Source: Google, oxfamilibrary
10.2.1. Résultat: La capacité des petits agriculteurs d'avoir un niveau de vie correct avec des revenus suffisants est primordial. Les faibles revenus est la cause des faibles investissements dans la productivité de leurs fermes, et la raison pour laquelle les jeunes quittent la profession. Les femmes agricultrices souffrent encore plus de faibles revenus. Les nombres de personnes affamées augmentent également, et les deux sont liées au final. L'objectif 1 et 2 du SDG est en péril. Tout d'abord, pour changer ceci et augmenter les revenus, il faut limiter les risques trop importants, qui conduisent les agriculteurs à ne pas investir dans leurs fermes et donc manquer de revenu. Diminuer les inputs et les risks inputs, mais également limiter les risques du climat est à prévoir. Après avoir réduis les risques, viens le problème de la market place. Les agriculteurs doivent avoir plus de part, et avoir un pouvoir de négociation accrue, mais également diversifier leurs sources de revenues ! Pour finir, il faudrait restructurer le marché, de la supply chain, au supermarché et aux règles, aux politiques publics. Enfin, il faudrait plus investir dans les petites structures, changer la supply-chain, s'engager avec le gouvernement..
11. Thématique 11: Les circuits-courts
11.1. Mots-clés: Les AMAP
11.2. Sources: journals.openedition
11.2.1. Résultat: Les AMAP sont des circuits courts, qui se sont encore plus développé depuis ce journal. Elles tendent à promouvoir des valeurs de solidarité entre consommateurs et producteurs et à soutenir la petite agriculture locale. En effet, l'avantage pour un producteur va être majoritairement sur son impact positif sur la trésorerie, le producteur sachant d'avance combien et à quel prix il va vendre. Cela limite également les coûts notamment de commercialisation. De plus, une portée environnemental est mise dans ce genre de pratique, avec un métier avec plus de " sens".
12. Thématique 12: Le revenu moyen des agriculteurs en France, révélateur d'un problème.
12.1. Mots-clés: Revenus des agriculteurs, France
12.2. Source: Le Monde
12.2.1. Résultat: Le salaire moyen est à 1390 euros mensuels, avec de très grandes disparités. 20 % ne se sont pas livrés de salaires en 2017. Les secteurs qui se portent le moins biens sont notamment les céréales, ovins, culture/élevage et bovins..
12.2.1.1. Lien vers article similaire
12.2.1.1.1. Source:
13. Thématique 12: Approfondissement de la thématique 8: Produire moins avec plus ( augmenter les revenus et la productitivité !)
13.1. Mots-clés: Revenu agriculteur, productivité
13.2. Source: Google, FAO
13.2.1. Résultat: Cet article nous relate le défi environnemental préoccupant de nos jours, et des petits agriculteurs qui doivent intensifier leur productivité, et donc leur en donner l'envie en repensant leurs revenus. " Les défis sans précédent qui se posent à l'agriculture – y compris la croissance démographique, les changements climatiques, la pénurie énergétique, la dégradation des ressources naturelles et la mondialisation des marchés – soulignent la nécessité de repenser les politiques et les institutions afin d'intensifier les cultures. "Ce que nous avons fait par le passé pour permettre l'intensification de la production, ont souvent eu des coûts environnementaux élevés, et ces procédés doivent être révisés afin d'assurer une plus grande durabilité. Il y a un changement de cap à prévoir, en lien avec les enjeux environnementaux. Cet article mérite la lecture et la réflexion, mais pour changer de cap, et permettre intrinsèquement une augmentation des revenus des petits agriculteurs, il faudrait: -Combiner l'appui du secteur public et du secteur privé, afin de permettre une augmentation des fonds d'investissements...(aides, investissement) -Incorporer la valeur des ressources naturelles et des services écosystémiques dans les politiques concernant les prix des intrants et des produits agricoles ( valorise l'environnement, plus de reconnaissance, intrants et prix plus adaptés...) -Accroître la coordination et réduire les coûts de transaction. Toujours dans une logique de permettre aux petits agriculteurs de s'intensifier, il faut revoir l'accès aux intrants, augmenter la plu value environnemental et les labelle.. - Et enfin :"Il faudra évaluer et renforcer les capacités actuelles des systèmes coutumiers d'accès aux intrants nécessaires à l'intensification durable, mais aussi celles des systèmes autochtones de gestion agricole" Ici l'idée de l'accès aux intrants par tous, et leur facilité d'accès est encore mis en avant, ceci étant actuellement un facteur limitant pour les petits agriculteurs.