Lecture "Questionner pour enseigner et pour apprendre" (Maulini)

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Lecture "Questionner pour enseigner et pour apprendre" (Maulini) von Mind Map: Lecture "Questionner pour enseigner et pour apprendre" (Maulini)

1. pp. 170-175 Joël

1.1. 2 zones de réglage

1.1.1. Attribution

1.1.2. Restitution

1.2. Les questions peuvent superposer des fonctions

1.2.1. =>Découpler (séparer les fonctions)

1.2.2. =>Ralentir le temps (soulever des problèmes)

1.3. Questions => problème => savoir nouveau

1.3.1. => créer des ruptures par le biais du questionnement

1.3.1.1. => Chercher des problèmes, les trouver dans la discipline et ses concepts

2. pp. 175-179 Benjamin

2.1. Quand le maître ne connait pas la réponse

2.1.1. Pour qu'il y ait apprentissage, l'enseignant doit en savoir plus que les élèves

2.1.2. Si ce n'est pas le cas, on peut s'interroger avec eux, pour entraîner le raisonnement, la recherche d'informations.

2.1.3. C'est également une manière de donner un autre point de vue

2.2. Types de questionnements

2.2.1. Les questions du maître, pour guider

2.2.2. Les questions des élèves, pour savoir

2.3. rôle du maître

2.3.1. objectif: la question a-t-elle une réponse?

2.3.2. normatif: cette question a-t-elle sa place à l'école (questions religieuses, politiques, ...)

2.3.3. subjectif: cette question correspond-elle à ce que j'ai envie d'enseigner aujourd'hui?

3. Suite...

3.1. Imaginer deux « questions pour faire apprendre » dans le cadre d’un cours d’apprentissage du traitement de texte

3.1.1. Benjamin

3.1.1.1. Si le titre de chaque paragraphe est gras, souligné et de taille 15, comment faire pour ne pas avoir besoin de refaire les mêmes manipulations à chaque titre?

3.1.1.2. Comment s'assurer qu'un paragraphe ne commence pas tout en bas d'une page?

3.1.2. Antoine

3.1.2.1. Quels avantages voyez vous avec le traitement de texte par rapport à l'écriture d'une lettre à la main ?

3.1.2.2. Dans quelle situation utiliser les Styles de paragraphes selon vous ?

3.1.3. Joël

3.1.3.1. Quelle différence voyez-vous entre utiliser l'espacement de paragraphe et les retours de ligne ?

3.1.3.2. Pour quel usage utiliseriez-vous plutôt un tableau ou plutôt des tabulations ?

3.1.4. Damien

3.1.4.1. Pourquoi utiliser des taquets de tabulation plutôt qu'un tableau pour l'adresse d'une lettre de motivation?

3.1.4.2. Comment pourriez-vous rendre un document plus lisible, plus facile à lire?

3.1.5. Pablo

3.1.5.1. Pourquoi utiliser les styles dans un document ?

3.1.5.2. Quelle est la différence entre un modèle et un document ?

3.2. Imaginer deux questions à poser aux élèves au début d’une leçon portant sur les principales fonctions d’un ordinateur

3.2.1. Faire un lien avec le moteur 1 "Mise en situation"

3.2.2. Pablo

3.2.2.1. Pourquoi pouvez-vous utiliser des applications sur un ordinateur ?

3.2.2.2. Pourquoi/Comment arrivez-vous à accéder à votre dossier depuis n'importe quel ordinateur de l'école ?

3.2.3. Antoine

3.2.3.1. Comment sont stockées les données de travail ?

3.2.3.2. Que faites vous personnellement avec un ordinateur?

3.2.4. Damien

3.2.4.1. Est-ce qu'un ordinateur sans internet est utile?

3.2.4.2. Citez tous les programmes que vous connaissez, mais que vous n'utilisez pas forcéement?

3.2.5. Joël

3.2.5.1. Comment comprenez-vous la différence entre une application et un système d'exploitation ?

3.2.5.2. Quand vous êtes sur le site Internet du gymnase, où êtes-vous en fait ?

3.2.6. Benjamin

3.2.6.1. Pourquoi utilisez-vous votre ordinateur?

3.2.6.2. Quelles sont les différentes choses qu'on peut faire avec un ordinateur? Essayez de regrouper ces utilisations par catégories.

4. pp. 87-93 Pablo

4.1. Définition Question : "Demande d'être éclairé"

4.2. Paire Question-Réponse

4.2.1. Q: ignorance ou doute

4.2.2. Valeurs du Q

4.2.2.1. lacune à combler

4.2.2.2. exigence d'un lien à nouer

4.2.3. Structure l'interaction

4.2.4. Interdépendance

4.2.4.1. Risque de créer des différends

4.3. Contrainte de la Q

4.3.1. Une paire est un échange

4.3.1.1. Transactions

4.3.1.2. Interaction

4.3.1.3. Interventions

4.3.1.3.1. actes de langage

4.3.2. Passage de l'intervention à l'échange par une Q

4.3.2.1. Rencontre commence par une demande

4.3.2.1.1. limiter l'aggressivité

4.3.2.1.2. préfigurer la façon dont l'échange va se dérouler

4.3.2.1.3. Rôle de la Q : guider l'échange

4.3.3. Sa fonction est simultanément initiative et réactive

4.3.3.1. Détermine ce qui suit

4.3.3.2. Propose une destination

4.3.4. Peut être refutée

4.3.4.1. Imposant une nouvelle Q

4.4. Règles d'enchaînement

4.4.1. Principe de coopération

4.4.2. Quatre maximes

4.4.2.1. Quantité

4.4.2.1.1. Toutes les informations utiles

4.4.2.2. Qualité

4.4.2.2.1. Sincérité

4.4.2.3. Relation

4.4.2.3.1. Suivre le fil de la discussion

4.4.2.4. Manière

4.4.2.4.1. Sans ambiguïté

4.5. Excès de l'interrogation

4.5.1. Désir de la pensée

4.5.2. La Q mène au savoir

5. pp. 93-98 Antoine

5.1. Initiation et orientation du dialogue (suite)

5.1.1. Désorientation de la pensée

5.1.1.1. l'abus d'interrogation peut avoir des effets négatifs

5.1.1.2. exemple de 2 retraités dont la quête de curiosité s'emballe

5.1.1.3. Le chercheur agité oscille entre activisme et prostation.

5.1.1.3.1. Exemple : Le chercheur du livre de Wells qui est un monstre d'inhumanité

5.1.1.4. Interroger n'est pas toujours raisonner.

5.1.1.4.1. L'homme doit se méfier des vertiges de sa curiosité.

5.1.1.4.2. et d'un scepticisme pratiquement impossible à assumer.

5.1.1.5. La question est comme la proposition : ni bonne ni mauvaise en soi.

5.1.1.5.1. Tous les exemples cités questionnent mais seuls certains savent raison garder.

5.1.1.5.2. Le questionneur a 2 côtés

5.1.2. Un questionnement équilibré?

5.1.2.1. Différents courant de pensés sur le Questionnement en philosophie

5.1.2.1.1. Descartes n'aiment pas les simulateurs, qui font semblant de douter

5.1.2.1.2. Aristote dénonce les provocateurs

5.1.2.1.3. Montaigne que cela divise le monde en vaines querelles

5.1.2.2. Si le questionneur est curieux, il questionne à partir de présupposés

5.1.2.2.1. S'il est critique, il n'interroge plus à partir du connu, mais en revenant dessus

5.1.2.2.2. Par son doute il remet l'évidence en question

5.1.2.3. On trouve des sceptiques de mauvaises fois

5.1.2.3.1. Exemples du négationnisme

5.1.2.3.2. Le négationniste ne conteste pas, il réclame le droit de douter

5.1.2.4. Dogmatisme et relativisme font alliance au mépris de la raison

5.1.2.4.1. Il y a une symétrie entre questionner beaucoup en croyant tout, et douter de rien en n'admettant rien

5.1.2.5. Questionner oriente la conversation

5.1.2.5.1. vers l'aval (confiance)

5.1.2.5.2. vers l'amont (soupcon)

5.2. Intérêts de connaissance et pouvoir de questionner

5.2.1. Deux paliers : suivre son intérêt, être intéréssé

5.2.2. Sous les questions, les préoccupations

6. pp. 165-170 Damien

6.1. Enseignant

6.1.1. Attendre les questions

6.1.2. Susciter le questionnement

6.1.3. Encourager les questions

6.1.3.1. Limites

6.1.3.1.1. Questions hors-sujet

6.1.3.1.2. Ne pas oser poser des questions devant tout le monde / montrer qu'on se sait pas

6.1.3.2. Logiques croisées

6.1.3.2.1. On ne peut pas progresser sans faire d'erreur

6.1.3.2.2. On ne peut pas faire d'erreur sans essayer de se tromper

6.1.3.3. Difficultés

6.1.3.3.1. identifier UN problème

6.1.3.3.2. Abandon

6.1.4. Élèves

6.1.4.1. Il est bon de se poser et de poser des questions

6.1.4.2. quand on ne comprend pas on doit demander

6.2. Créer des situations propices aux questions

6.2.1. Exemples

6.2.1.1. Visite au zoo

6.2.1.1.1. Comment marchent les chameaux?

6.2.2. Activités larges

6.2.3. questions

6.2.3.1. venant des élèves

6.2.3.1.1. Troubler le "allant de soi"

6.2.3.2. incitées par l'enseignant

6.2.3.2.1. Opposer des opinions

6.2.3.2.2. Attendre la réponse et mettre en doute

6.3. Si les questions ne viennent pas, l'enseignant ne condamne pas l’ignorance mais s'étonne du manque d'étonnement et apporte sa contribution