ABG Développement émotionnel et social

Lancez-Vous. C'est gratuit
ou s'inscrire avec votre adresse e-mail
ABG Développement émotionnel et social par Mind Map: ABG Développement émotionnel et social

1. COURS 1 : INTRODUCTION

1.1. Fact. constitutifs de la conception du dév.

1.1.1. Sa propre histoire comme enfant

1.1.2. L'éducation (conaissances théoriques, confrontation à des situations nouvelles et le retour sur ces expériences)

1.1.3. La philosophie

1.1.4. La capacité à remettre en question parents et pers. significatives

1.1.5. Le travail personnel fait sur sa propre histoire

1.2. Notion de développement

1.2.1. Étude scientifique des phénomènes de changement et de continuité qui marquent la vie d'un individu et des facteurs qui influences ces phénomènes. Ou étude des processus responsables des changements quantitatifs et qualitatifs et de la continuité qui interviennent tout au long de la vie des individus.

1.2.2. Théorie du développement de l'enfant

1.2.2.1. « Explication du changement qui survient chez l'humain au cours de l'enfance » = changement et temps

1.2.3. «Processus constant qui provient d'un échange continuel et dynamique entre l'organisme et ses milieux interne et externe»

1.3. Qu'est-ce qui se développe chez l'enfant ?

1.3.1. Tout! Mais il conserve son identité malgré les transformations

1.3.2. Aucune théorie à présent n'englobe toutes les transformations que vit l'enfant

1.4. Les dimensions du développement

1.4.1. Physique

1.4.2. Cognitif

1.4.3. Social

1.4.4. Affectif

2. COURS 3 : PÔLE AFFECTIF : THÉORIE PSYCHODYNAMIQUE

2.1. Erikson

2.1.1. La résolution d'une crise ou l'atteinte d'un équilibre entre deux pôles mène à une force adaptative.

2.1.2. Les 8 (5) STADES PSYCHOSOCIAUX

2.1.2.1. CONFIANCE/MÉFIANCE (0 à 18 mois)

2.1.2.1.1. Doit avoir un environnement sécurisant

2.1.2.1.2. Méfiance pour sa sécurité

2.1.2.1.3. Je suis ce que je reçois

2.1.2.1.4. La qualité de l'interaction avec la mère joue un rôle important dans l'établissement de la confiance. + Détermine le style d'attachement

2.1.2.1.5. FORCE ADAPTATIVE : L'ESPOIR

2.1.2.2. AUTONOMIE vs HONTE/DOUTE 1à3

2.1.2.2.1. correspond au stade anal et se percoit petit comme dépendant de ses parents

2.1.2.2.2. Autonomie : Je peux me contrôler. La réussite du contrôle.

2.1.2.2.3. Honte : Je prend conscience de mon échec et d'être observé dans mon échec.

2.1.2.2.4. Doute : Je ne suis pas certain de réussir

2.1.2.2.5. Idéal : avoir un peu de doute, mais pas trop

2.1.2.2.6. FORCE ADAPTATIVE : LA VOLONTÉ

2.1.2.3. INITIATIVE/CULPABILITÉ 3-6 ans

2.1.2.3.1. oedipe phallique

2.1.2.3.2. Initiative : Envie de réaliser des choses, identification aux adultes.

2.1.2.3.3. L'enfant doit réaliser l'équilibre entre le désir d'atteindre des buts et les jugements moraux liés à ce qu'il veut faire.

2.1.2.3.4. Confrontation des limites, culpabilité, il se voit grand mais éprouve de la culpabilité face à ses limites, mais elle est nécessaire pour atteindre une maîtrise de la conscience de soi.

2.1.2.3.5. FORCE ADAPTATIVE : LE COURAGE

2.1.2.4. TRAVAIL/ INFÉRIORITÉ 6-11 ans

2.1.2.4.1. Latence

2.1.2.4.2. Consolidation des acquis du Moi

2.1.2.4.3. Période au cours de laquelle l'enfant doit faire l'apprentissage de certaines habiletés favorisées par la culture.

2.1.2.4.4. Il doit également être conscient de ses limites sans développer un sentiment d'infériorité.

2.1.2.4.5. Travail : J'apprend et je développe mes habiletés

2.1.2.4.6. Infériorité : Je me sens incompétent, moins bon que les autres.

2.1.2.4.7. Confronté à ses limites, il vise plus haut que ce qu'il est capable de faire, pour impressionner, pour se prouver. L'environnement a un rôle important (parents qui critiquent, soulignent l'effort ou la réussite, qui permettent d'en faire plus)

2.1.2.4.8. Est-ce que je réussis ou tout ce que je fais est sans valeur?

2.1.2.4.9. FORCE ADAPTATIVE : LA COMPÉTENCE

2.1.2.5. IDENTITÉ/CONFUSION DES RÔLE 12+

2.1.2.5.1. Stade des opérations formelles de Piaget

2.1.2.5.2. Comportement égocentrique

2.1.2.5.3. Stade génital

2.1.2.5.4. Période au cours de laquelle l'adolescent cherche à acquérir un sens cohérent

2.1.2.5.5. Faire ses propres choix = développer son identité

2.1.2.5.6. Diffusion : je ne sais pas qui je suis et ce que je veux

2.1.2.5.7. Enrichissement du moi

2.1.2.5.8. FORCE ADAPTATIVE : FIDÉLITÉ (Loyauté durable envers soi et les auters)

2.2. Freud

2.2.1. Les 5 STADES du DÉVELOPPEMENT PSYCHOSEXUEL

2.2.1.1. Oral 0-1 an

2.2.1.1.1. Bouche et peau

2.2.1.1.2. Relation fusionnelle

2.2.1.1.3. NARCISSIME PRIMAIRE

2.2.1.1.4. Acquisition affective : entité séparée Conséquence : angoisse de séparation

2.2.1.1.5. Stade durant lequel la satisfaction est obtenue principalement par la bouche, l'incorporation et la relationavec la mère

2.2.1.2. Anal 1.5 à 2.5 ans

2.2.1.2.1. Sphincters

2.2.1.2.2. Contrôle de l'environnement. Retenir et donner, dire non

2.2.1.2.3. Développement d'une autonomie + Opposition

2.2.1.2.4. Angoisse de perte d'objets (permanence de l'objet non acquise)

2.2.1.2.5. Relation anaclitique : dépendance au grand. Ils savent qu'ils sont petits

2.2.1.2.6. La satisfaction est obtenue grâce à la rétention et à l'expulsion des selles et d'une manière plus large, au contrôle de soi et des autres.

2.2.1.3. Phallique 2.5 à 5 ans

2.2.1.3.1. Déplacement de la libido vers les organes génitaux et au cours duquel l'enfant perçoit la différence sexuelle selon la présence ou l'absence du pénis.

2.2.1.3.2. être vu comme un grand

2.2.1.3.3. Idéal du moi

2.2.1.4. Le complexe d'Oedipe 3 à 5 ans

2.2.1.4.1. Conflit au cours duquel l'enfant éprouve inconsciemment un désir sexuel pour le parent du sexe opposé et souhaite la mort de celui du même sexe. Idéalement, une fois le complexe résolu, l'enfant va vouloir s'inscrire dans sa société et sa culture pour y établir plus tard une relation avec un partenaire de sexe opposé étranger à sa famille.

2.2.1.4.2. Création du surmoi : Intériorisation de « je n'ai pas envie qu'on me le fasse, alors je ne vais pas le faire aux autres » par la résolution du complexe d'oedipe

2.2.1.5. Latence 5-12 ans

2.2.1.5.1. Accalmie psychosexuelle. (calme relatif de la pulsion sexuelle.)

2.2.1.5.2. Refoulement des pulsions sexuelles causé par la présence du surmoi et par leur sublimation dans des activités scolaires et sociales.

2.2.1.5.3. Ajustement entre ce que veut l'enfant et ce que les parents veulent

2.2.1.6. Génital Adolescence

2.2.1.6.1. Réactivation des pulsions sexuelles

2.2.1.6.2. Remise en question de l'idéalisation des parents = Ils vont parfois faire le contraire.

2.2.2. Les 3 INSTANCES PSYCHIQUES

2.2.2.1. ÇA

2.2.2.1.1. Réservoir de l'énergie psychique

2.2.2.1.2. Siège des instincts

2.2.2.1.3. Présent dès la naissance. Instance innée qui obéit au principe de plaisir (gratification imédiate)

2.2.2.1.4. Irrationnel et amoral

2.2.2.2. MOI

2.2.2.2.1. Le moi se développe à partir du contact avec le monde extérieur et obéit au principe de réalité.

2.2.2.2.2. Équilibre entre besoin et désir

2.2.2.2.3. Le Moi devient plus apte à canaliser les pulsions de manière à satisfaire les besoins en accord avec la réalité = Moi fort

2.2.2.2.4. Moi archaique : début de la différenciation avec le Ça (4-5 mois)

2.2.2.2.5. Développement de l'idéal du moi (2.5 à 3.5)

2.2.2.3. SURMOI

2.2.2.3.1. Le surmoi représente les règles, les interdits et les principes moraux (5-6 ans)

2.2.2.3.2. Intériorisation des exigences de la réalité, des interdits parentaux, des règles. Conscience morale.

2.2.2.4. Se différencient progressivement au cours du développement

3. COURS 4 : PÔLE AFFECTIF : ATTACHEMENT

3.1. Définition et fonctions de l'attachement

3.1.1. L'attachement est le premier modèle de relation sociale (pas le seul mais le premier qui teintera le futur)

3.1.1.1. Lien invisible

3.1.1.2. Proximité physique

3.1.1.3. Sentiment de sécurité

3.1.2. 0-18 mois

3.1.3. L'enfant reproduit avec l'enseignant le modèle relationnel appris

3.1.4. Fonctions

3.1.4.1. Protection

3.1.4.1.1. Protection des dangers (survie - base biologique)

3.1.4.1.2. Paradoxe lorsque la figure d'attachement est source de sévices

3.1.4.2. Exploration

3.1.4.2.1. Permet le dév. au plan affectif, cognitif et social

3.1.5. Les conduites d'attachement se manifestent lorsque :

3.1.5.1. L'enfant ressent des besoins internes

3.1.5.2. La mère est loin ou hors de portée

3.1.5.3. L'environnement change

3.1.6. Inné Vs Acquis

3.1.6.1. Inné : besoin de rapprochement Acquis : type de lien d'attachement

3.1.7. À l'adolescence

3.2. Types d'attachement

3.2.1. Sécurisé

3.2.1.1. Caractéristiques de l'enfant

3.2.1.1.1. Autonome. S'adapte facilement en vieillissant . Intégration de l'information affective et cognitive adéquate.

3.2.1.2. Départ de la mère

3.2.1.2.1. Peu d'anxiété au départ de la mère Accueille la mère avec joie lorsqu'elle vient voir l'enfant Se réconforte rapidement Reprise de l'exploration rapide lors du retour de la mère

3.2.1.3. École

3.2.1.3.1. Expression émotionnelle équilibrée Perception de soi positive Perception de l'enseignant comme base de sécurité Tolère l'incertitude

3.2.1.3.2. Interactions sociales positives

3.2.1.3.3. Capacité à s'adapter à l'école et à réagir aux exigences

3.2.1.3.4. Autonome et curieux

3.2.1.3.5. Équilibre entre les besoins de dépendance et d'exploration

3.2.2. Évitant

3.2.2.1. Caractéristiques de l'enfant

3.2.2.1.1. Concentration sur les tâches intellectuelles. Entrer en contact par la tâche

3.2.2.2. Départ de la mère

3.2.2.2.1. Exploration indépendante Évitement de la mère lorsqu'elle revient Enfant isolé et souvent victime d'agressions Rejet lorsque quelqu'un s'approche

3.2.2.3. École

3.2.2.3.1. Autosuffisance Peu de symptômes externalisés. On les remarque peu. Inhibition des émotions négatives.

3.2.2.3.2. Craint la dépendance

3.2.2.3.3. peu de symptômes externalisés (opposition colère) Peu d'expressions affectives négatives et les sentiments sont plus positifs enthousiastes, contents

3.2.2.3.4. Risque d'isolement

3.2.2.3.5. Veulent beaucoup plaire aux adultes, font ce qui est demandé

3.2.2.3.6. Déni du besoin de soutien / aide de l'enseignant

3.2.2.3.7. Comment assurer le soutien et la proximité sans activer leur système de défence?

3.2.3. Ambivalent

3.2.3.1. Caractéristiques de l'enfant

3.2.3.1.1. Plus à risque de développer des difficultés scolaire et de comportement. (Moins de motivation. Plus faible estime de soi. Immaturité. Colère contre le parent.)

3.2.3.1.2. Perception de soi : très dépendant Grande anxiété Peuvent être intrusifs

3.2.3.1.3. Paraît dépendant de l'adulte

3.2.3.2. Départ de la mère

3.2.3.2.1. Peu d'exploration . Détresse élevée lors de la séparation .

3.2.3.2.2. Difficile à réconforter : recherche le contact et y résiste.

3.2.3.3. École

3.2.3.3.1. Recherche continuelle de contact Peuvent être intrusifs

3.2.3.3.2. Beaucoup d'anxiété et d'incertitude. Résistance à se centrer sur la tâche (de crainte de perdre l'attention de l'adulte)

3.2.3.3.3. Peut exprimer de l'agressivité envers l'adulte

3.2.3.3.4. Ambivalents : Ont des comportements immatures et colériques

3.2.3.3.5. Extroverti et agresseur dans les disputes scolaires.

3.2.3.3.6. Comment favoriser l'investissement de la tâche sans activer leur recherche continuelle de contact?

3.2.4. Désorganisé-désorienté

3.2.4.1. Caractéristiques

3.2.4.1.1. 15% combinaison de comportements d'évitement et de résistance (ne parvient pas à s'approcher de la figure, ni à s'en détacher)

3.2.4.1.2. Plus l'enfant a peur, plus sa crise va être importante. (Il faut leur donner du calme. Il faut éviter la confrontation)

3.2.4.1.3. Confusion de rôles mère-enfant

3.2.4.2. Retour de la mère

3.2.4.2.1. S'approche à reculons

3.2.4.3. École

3.2.4.3.1. Refuse d'effectuer les tâches.

3.2.4.3.2. Reconnait peu l'autorité de l'enseignant (mais peut reconnaitre celle de la direction)

3.2.4.3.3. Ne tolère pas de ne pas savoir et que l'enseignant sache

3.2.4.3.4. Graves lacunes à établir un lien avec la tâchâe et avec l'enseignant

3.2.4.3.5. Anxiété intense

3.2.4.3.6. Il ne sont pas souvent disponibles cognitivement parce qu'émotivement ils sont très occupés. La routine les aidera.

3.2.4.3.7. Ce qui les aide à l'école

3.3. Favoriser l'attachement pour tous

3.3.1. L'enseignant et le contexte de la classe peuvent deveir une base de sécurité pour tous les enfants

3.3.1.1. La gestion de classe doit être CLAIRE, COHÉRENTE ET PRÉVISIBLE

3.3.1.2. TOLÉRANCE ZÉRO pour la VIOLENCE, les paroles blessantes, le sarcasme, le rejet, les moqueries

3.3.1.3. L'enseignante doit créer un CLIMAT DE SÉCURITÉ afin de permettre les apprentissages

3.3.1.4. Rituels d'acceuil et de départ

3.3.1.5. Contact personnel avec chaque élève

3.3.1.6. Préparer les absences (prof)

3.3.1.7. Intervenir face aux comportements adéquoits la tête froide en se centrant sur le bien-être des élèves concernés

3.3.1.8. Établir un lien avec les parents en présence de l'élève (mésosystème parents-enseignant)

3.4. Adolescence

3.4.1. représentation de la disponibilité émotionnelle Accessible? Disponible? Sensible?

4. Freins à l'agression

5. L'ÉCOLE

5.1. Facteurs de risque au décrochage scolaire (facteurs d'adaptation de l'élève en milieu scolaire) (des variables du climat de classe)

5.1.1. Dimensions du climat de classe associé au décrochage scolaire

5.1.1.1. Engagement

5.1.1.2. Clarté des règles et la constance

5.1.1.3. Affiliation (liens positifs avec autres enfants)

5.1.1.4. Compétition

5.2. Facteurs de risque à la relation éllève enseignant

5.2.1. Avancer dans les cycles scolaires, mauvaise relation parent-enfant, garçon, lourdeur de la tâche, (ratio) facteurs de risques dans le milieu familial

5.3. Interventions

5.3.1. Intervention discrète

5.3.1.1. Efficace, aucune interruption de l'activité, Évite l'humiliation, éviter de donner de l'attention au comportement perturbateur et de le renforcer.

5.3.2. Tolérance

5.3.3. Rappel verbal

5.3.3.1. En privé si possible, l'enseignant précise ses attentes Quoi faire, quand le faire comment le faire et pourquoi le faire

5.3.4. La répétition du rappel verbal

5.3.4.1. Quand l'élève met l'enseignant à l'épreuve et ne fait pas ce qui est demandé volontairement. Disque brisé

5.3.5. Distribution sélective de l'attention

5.3.5.1. Bravo à toi qui fait bien ça et ignore ceux qui ne font pas bien ça *ne pas réagir aux comportements perturbateurs et féliciter ou remarquer les comportements adéquats

5.3.6. Les indices non verbaux

5.3.6.1. Geste, expression pour faire cesser sans perturber le groupe.utile pour les comportements

5.3.7. Intérêt pour les comportements adaptés

5.3.7.1. DÉfinir clairement ce qui est efficace, décrire le comportement de l'élève en étant très précis, concret et spécifique

5.3.8. Le renforcement des comportements incompatibles

5.3.8.1. Deux comportements qui ne peêtuvent pas re produits en même temps, suggérer un comportement à adopter plutôt que de réprimander celui qui n'est pas souhaitable

6. Facteurs du développement socio-affectif

6.1. Tempérament

6.1.1. Tempérament est une prédisposition (période prénatale/environnement + hérédité) et relativement stable

6.1.2. 4 types de tempérament

6.1.2.1. ADÉQUATION = la clef d'un développement sain

6.1.3. Rythme biologique ou régularité physiologique, émotivité, sociabilité

6.1.4. Enfant facile, enfant difficile, enfant plus lent à réagir

6.2. Styles parentaux (selon Baumrind)

6.2.1. Trois dimensiosn

6.2.1.1. Permissivité

6.2.1.2. Recours à la punition

6.2.1.3. Démonstration d'affection

6.2.2. Quatre styles

6.2.2.1. Parents autoritaires

6.2.2.2. Parents permissifs

6.2.2.3. Parents démocratiques

6.2.2.4. Parents négligents

6.3. Estime de soi

6.4. Capacité à résoudre les conflits interpersonnels

6.5. Prariques éducatives

7. Punition vs conséquence logique

7.1. Punition

7.1.1. Objectif : faire cesser un comportement mais pas de lien avec le comportement à faire cesser. Objectif d'une punition : douleur. Manquer une sortie, recopier des verbes...

7.2. Conséquence logique

7.2.1. Objectif: faire apprendre le comportement approprié, En lien avec le comportement. Objectif D'APPRENTISSAGE. Réparer le tort causé, recommencer ce qui a été mal fait...

7.2.2. Éviter dans un moment d'émotion

7.2.3. Aucune privation de sortie ou perte de temsp

7.3. LA PRATIQUE GUIDÉE

7.3.1. MOYEN DE CORRECTION PAR LA RÉPÉTITION DE COMPORTEMENT ADAPTÉ

7.4. LA SURCORRECTION

7.4.1. CORRIGER ET AMÉLIORER LA SITUATION INITIALE

7.5. RETRAIT DE LA SITUATION

7.5.1. SI LE COMPORTEMENT NE PERMET PAS DE PARTICIPER À UNE ACTIVITÉ

7.6. COMPLICITÉ DES ÉLÈVES : ON DOIT IMPLIQUER LES ÉLÈVES DANS LE CHOIX DES RÈGLES DE FONCTIONNEMENT ET DES CONSÉQUENCES LOGIQUES

8. Le concept de soi

8.1. Le Moi subjectif

8.1.1. Différenciation d'avec la mère, Stade oral, "j'existe", perception de soi comme une entité discincte

8.2. Ensemble des représentations qu'une possède au sujet d'elle même.

8.3. Développement de la conception de soi-même âge : 2-6/7 ans et se définit par des caractéristiques physiques au stade préopératoire

8.4. Soi défini par des caractéristiques psychologiques et sociales âge 7-12 ans

8.5. Le concept de soi est «Ce qui m'identifie» Plus l'enfant se définit par des éléments nombreux et variés, plus son identité est saine et complète Une définition de soi restreinte peut être à l'origine d'une piètre estime de soi

9. Neurosciences affectives

9.1. Tant que le cerveau n'est pas mature, le processus de régulation des émotions ne l'est pas

9.2. Les régions archaïques du cerveau sont le siège des émotions

9.3. Maturation du cerveau

9.3.1. Développement du cortex préfrontal

9.3.1.1. Avant 5-6 ans, les impulsions sont difficilement contrôlables

9.3.1.2. Apprentissage par observation et par soutien de l'entourage

9.3.1.3. âge de raison : réactions de colère, punition,incompréhension de la part des adultes

9.3.1.4. Consoler un enfant, lui expliquer ses émotions participe à la maturation de son cerveau

9.4. Neurones miroirs

9.4.1. Activation des neurones dans le cerveau de l'observateur

9.4.2. Servent également à reconnaitre et à comprendre l'intention

9.4.3. Impact des photos, images, films

9.4.4. La contagion émotionnelle

9.4.5. Apprendre en imitant

10. COURS 2 : MODÈLE ÉCOSYSTÉMIQUE ET PÔLE BIOLOGIQUE

10.1. Modèle écosystémique influence réciproque du contexte social et du développement

10.1.1. Urie Bronffenbrenner (1917-2005)

10.1.2. Dév. = résultat de l'interaction continuelle entre l'organisme et son environnement

10.1.2.1. L'enfant exerce aussi une influence sur son environnement

10.1.2.2. Les milieux ne sont pas stables et l'organisme s'adapte

10.1.3. 5 systèmes

10.1.3.1. Micro

10.1.3.1.1. Milieu quotidien fréquenté régulièrement - relations étroites. (famille, école, amis)

10.1.3.2. Méso

10.1.3.2.1. Liens et interactions qui existent entre les différents microsystèmes ainsi que les réseaux de soutien social.

10.1.3.3. Exo

10.1.3.3.1. Instances habituellement non fréquentées par la personne qui se développe mais dont les décisions ont une incidence sur sa vie. (environnement socioéconomique, services de la protection de la jeunesse, médias, groupes communautaires)

10.1.3.4. Macro

10.1.3.4.1. Valeurs et normes véhiculées dans une sociét, une culture, un système. (contexte culturel/ idéologies, règles sociales, valeurs)

10.1.3.5. Chrono

10.1.3.5.1. Dimension temporelle

10.1.4. Le besoin d'une communauté stable

10.1.4.1. Solidarité du voisinage

10.1.4.2. Inclusion des parents dans le système éducatif

10.1.4.3. Écosystème riche (associations, groupes communautaires, etc)

10.1.4.4. École impliquée dans le milieu communautaire

10.1.5. Certains comportements apparaissent dans un ordre précis et à des moments déterminés d'avance

10.2. Pôle biologique

10.2.1. Travail de collaboration pour l'enfant et non de rivalité : phénomène de barrière

10.2.2. Maturationnisme

10.2.2.1. Droit de naître avec un système nerveux intact

10.2.2.2. Processus naturel de transformation par lequel l'organisme ateint son plein développement

10.2.2.3. Recommandations: Les écoles comme milieu de vie sécuritaire, tant au plan physique que psychologique

10.2.3. Éthologie

10.2.3.1. Deux questions utiles de l'éthologie

10.2.3.1.1. utilité du comportement pour la survie de l'espèce

10.2.3.1.2. cause du comportement

11. Lectures

11.1. Recueil p. 8 à 13

11.1.1. Pour une enfance heureuse, Repenser l'éducation à la lumière des dernières découvertes sur le cerveau.

11.1.2. La particularité de l'enfant : un être en construction, fragile, vulnérable, maléable

11.1.3. Penser à notre propre enfance est intéressant même si ce n'est pas toujours facile

11.1.4. Pour se développer, le cerveau a besoin de relations apaisées

11.1.5. Nous transmettons en priorité à l,enfant ce que nous sommes , notre façon d'être

11.1.6. Adultes-enfants : des rapports de domination?

11.1.7. Parents ne restez pas seuls

11.2. Recueil P. 16+

11.2.1. Définition du narcissisme

11.2.1.1. L'amour de soi, le sentiment de valeur

11.2.2. Trois conditions qui permettent à un enfant de croire qu'il vaut quelque chose :

11.2.2.1. Il faut qu'il sente qu'il compte aux yeux de ses parents. Qu'ils le considèrent parmi les choses essentielles de leur vie. IL FAUT QU'IL LE RESSENTE

11.2.2.1.1. Ce qui fonde le sentiment de compter pour ses parents, (son narcissicme) c'est la certitude que son existence est essentielle à leur bonheur.

11.2.2.1.2. Les parents manifestenet pour lui un projet de vie

11.2.2.2. Il faut qu'il se sente unique-singulier. Savoir qu'il est considéré comme une individualité.

11.2.2.3. Il faut que ce «un» que représente l'enfant soit un «un» dont on reconnaisse la valeur.

11.2.2.3.1. Dans sa sexuation

11.2.2.3.2. Dans son corps (intimité-pudeur)

11.2.2.3.3. Dans son être

11.2.2.3.4. Dans ses désirs et sa parole

11.2.3. L'identification aux parents

11.2.3.1. Ce que les parents pensent d'eux-mêmes est essentiel à la construction qu'il fait du sentiment de sa valeur.

11.2.4. Sauvés par l'école

11.2.4.1. Rôle des enseignants <3 L'opinion des enseignants.

11.3. P. 45+

11.3.1. Exemples de la pratique

11.3.2. (le profil d'apprentissage)

11.3.3. P. 50 Attachement évitant résumé

11.3.4. Suggestions d'interventions

11.3.5. P. 54 à 57

11.3.5.1. Implications pour l'apprentissage (ambivalent)

11.4. p. 61+

11.4.1. Les statuts auprès des pairs

11.4.1.1. p. 62 LES CAUSES DU REJET Pourquoi un enfant est rejeté?

11.4.2. Les amitiés p. 66 2e paragraphe

11.4.3. Les amitiés des enfants en difficulté p. 70 à 72

11.4.4. Les deux fonctions des bandes p. 76

11.4.5. Les parents adressant des conseils p. 77-78

11.4.6. Le rôle de l'enseignant p.79 à 81

12. COURS 5 : PÔLE SOCIAL : LES RELATIONS SOCIALES

12.1. Compétence sociale

12.1.1. Capacité d'un individu d'utiliser des comportements sociaux appropriés à son âge qui favorisent ses relations sociales tout en ne causant aucun préjudice à d'autres individus

12.2. L'amitié

12.2.1. Caractéristiques

12.2.1.1. -Même sexe

12.2.1.2. -Proximité

12.2.2. Conséquences : Ajustement social et émotionnel adéquats. Intégrer règles sociales. Meilleure opinion de l'école Meilleurs résultats scolaires

12.3. Dominance sociale

12.3.1. Les enfants s'auto-hiérarchisent en dominants-dominés. La dominance est un trait social de l'enfant.

12.3.1.1. Conséquence : réduction des conflits

12.4. L'adolescence

12.4.1. Diminution du contrôle parental. Les amis prennent plus d'importance.Microsystèmes reliés : un ami de l'école est souvent un collègue de travail Choix des amis selon des valeurs communes Importance de la statisfaction des besoins AVANT la quantité d'amis

12.4.1.1. Meilleur filet de sécurité en cas de détresse émotionnelle

12.5. Apprentissage social IDENTIFICATION

12.5.1. modèles qui influencent l'identification :

12.5.1.1. Modèle perçu comme étant affectueux par l'enfant

12.5.1.2. Posséder des ressources et des attributs qui sont valorisés par l'enfant

12.5.1.3. L'enfant doit perçevoir des ressemblances entre lui et son modèle

12.6. L'agressivité

12.6.1. Positif si elle apporte un dynamisme intérieur : affirmation, compétition.

12.6.2. Négatif si elle même à des comportements antisociaux (agresser quelqu'un)

12.6.3. Surreprésentation des garçons -Testostérone

12.6.4. Influence du milieu: (Discipline rude -Peu d'engagement parental -Faible supervision)

12.7. Densité du réseau social

12.7.1. Famille immédiate, amis de l'école, Groupe parascolaire, Travail étudiant

12.7.2. Plus les personnes de ces groupes ont des rapports entre elles (niveau de recouvrement élevé), plus le jeune bénéficie d'un filet de sécurité en cas de difficulté. (action concertée)

12.7.3. Importance de la qualité versus la quantité

12.8. Statuts sociométriques

12.8.1. Mesure de l'acceptation d'un individu par son groupe : Le statut est associé à la compétence sociale

12.8.2. Jeune rejeté

12.8.2.1. Beaucoup de cotes négatives et peu de cotes positives . Déficit habiletés sociales . Défie les normes. Agression physique. Plus à risque de décrochage. Attribue des intentions négatives aux autres.

12.8.2.2. Interprétations du rejet

12.8.2.2.1. 1) Déficits sociocognitifs déjà présents

12.8.2.2.2. 2) Le rejet empêche l'acquisition d'habiletés sociales

12.8.2.3. Deux types de jeunes rejetés

12.8.2.3.1. Jeune retiré socialement

12.8.2.3.2. Rejet d'un enfant agressif

12.8.3. Jeune populaire

12.8.3.1. Beaucoup de cotes positives, peu de cotes négatives Bonne adaptation Interaction positive Conforme aux normes

12.8.3.2. Avec agressivité = dur à cuire

12.8.3.3. Sans agressivité= modèle

12.8.3.4. Popularité perçue . Dominance. Intelligence sociale. Valorisé par les pairs.

12.8.4. Jeune négligé

12.8.4.1. Il n'est pas rejeté, mais n'a pas d'amis Difficultés d'intégration. Demande davantage d'encadrement.

12.8.4.2. Joue seul

12.9. Relations sociales : Rôle de l'enseignant

12.9.1. Attitudes : inclusion de tous, désapprouver l'agressivité, support. Avec les élèves : modèle, support. Relation de soutien.

12.9.2. Arrangement des pupitres: Rapprocher les élèves qui ne s'aiment pas pour influence sur le développement d'une bonne relation

13. Le jeu

13.1. Fonctions du jeu

13.1.1. Fonctions générales

13.1.1.1. Tester des comportements et observer leurs effets

13.1.1.2. Maitrise de ses comportements

13.1.1.3. Adaptation à la vie adulte

13.1.2. Fonctions sociales

13.1.2.1. Compréhension des rôles sociaux

13.1.2.2. Interaction sociale

13.1.2.3. Distinguer ce qui est de l'agressivité et ce qui est de l'afirmation de soi. Aussi partager et être égocentrique. Dépendance-indépendance. Qui décide du jeu? qui suit?

13.1.3. Fonction affectives

13.1.3.1. Maitrise de soi

13.1.3.2. Expression et libération des sentiments

13.1.3.3. COnnaissance de soi à travers la comparaison des compétences

13.1.3.4. Le jeu est une façon d'apprivoiser certaines émotions ex: peur de se faire attraper ou découvrir

13.1.4. Fonction cognitive

13.1.4.1. Développement cognitif

13.1.4.2. Développement du langage

13.1.5. Physique

13.1.5.1. Libération d'énergie et développement des habiletés motrices

13.2. Caractéristiques du jeu

13.2.1. Motivation intrinsèque : l'envie vient de l'enfant. Aucune exigence du milieu.

13.2.2. Orienté vers les moyens : le chemin est plus important que la destination (ex.: construire un fort. Il est plus plaisant de le construire que d'en avoir un déjà tout fait.

13.2.3. Hors de la réalité : on peut changer la réalité, l'inventer. L'imagination n'a pas de limite. On peut changer de réalité sans qu'il y ait de conséquence dans la réalité alors on peut libérer certaines frustrations.

13.3. Meilleure façon de contrer le stress : le temps de jeu libre