1. Modèle linguistique de la communication ; Roman Jakobson Langage et actes de langage du sujet qui parle C’est l’objectif qu’à le sujet qui va définir les différentes fonctions du langage dans la communication. On ne parle plus seulement de « technique » mais dans l’acte de communication
1.1. 6 fonctions • Fonction expressive – centrée sur l’émetteur Extériorisation de l'émetteur, idées désirs, émotions • Fonction conative – centrée sur le récepteur vis-à-vis de l’émetteur pour tenter d’agir sur autrui (influence, soutien, séduction etc.) • Fonction phatique – centrée sur le canal Tout ce que l’émetteur va mettre en place pour tenter de maintenir, la prolonger ou interrompre la communication • Fonction poétique – centré sur le message Pour faire en sorte que le message passe mieux, c’est tout le supplément de sens du message par une mise en forme particulière. (Très utilisé dans la publicité ; rajouter un côté poétique, peut pousser à acheter etc.) • Fonction métalinguistique – centrée sur le code Lorsque celui-ci fait l’objet du message échangé. C’est s’assurer qu’il a compris en s’assurant qu’on utilise le bon code. • Fonction référentielle – centré sur le référent Elle vise à décrite où évoquer le contexte dans lequel se déroule la communication, la situation dans laquelle on la vit.
2. Le modèle systémique de l’école de Polo Alto, Bateson, Watzlawick (1950) Impact sur le champ de la thérapie familiale, enfants skyzophrènes > Intervention sur ensemble de la famille . psq symptome peut être lié à des problèmes de communication au sein du système familial. com dans un système circulaire (feed-back) "On ne peut pas ne pas communiquer"
2.1. 2 interactions Entre les individus du système Entre le système et son environnement
3. Watzlawick et al. (1972) : 2 formes de communications pathologiques
3.1. Confusion des niveaux de communication
3.1.1. Au niveau de la com (digital) langue etc
3.1.2. Au niveau de la relation , contradiction entre regard et paroles (pervers narcissique) Pour arranger prob > méta-communiquer = communiquer sur la com
3.2. La double contrainte (double-blind)
3.2.1. Message avec 2 significations contradictoires Solution: communication paradoxale (humour, contradiction)
3.2.2. Bateson (1956) : double-contrainte > etayage possible de la skyzophrénie :
3.2.2.1. enfant « reste près de moi » puis « cet enfant est toujours dans mes jambes » répétitivité amène régularité de la double contrainte. Seule solution métacom Mais retranchement possible > skyzo pour faire face à ce contexte d'impossibilité
3.3. Bateson (1936) : 2 catégories d'interactions
3.3.1. Les interactions complémentaires : : les personnes qui interagissent entre elles s’enferment dans des rôles et contre-pôles (domination/soumission) Si on accepte ce type de communication, la communication ne sera pas détériorée. Rigidification des interactions complémentaires= naissance pathologie de la com. Les partenaires sont dans une forme stéréotypée de rapport à l'autre
3.3.2. • Les interactions symétriques : les personnes qui interagissent entre elles vont se répondre sur le même mode et de la même façon, car ils se reconnaissent,(communication étudiant à étudiant)
4. Shannon & Weaver Emetteur, récepteur, message, objet du message, un canal, un code ( ensemble de signe et de règles de combinaison de ces signes) = communication réussie .
5. Les modèles de la communication
6. Les modèles psycho sociaux
6.1. Anzieu et martin (1979) Communication = Locuteur + allocuté > Personnalités, significations différentes, situation commune
6.1.1. 3 Facteurs dans la communication
6.1.1.1. 1) Facteurs liés à la personne Motivations , caractéristiques, état émtionnel, capacité cognitives, valeurs, histoire perso
6.1.1.2. 2) Facteurs liés à la situation Contexte physique important adapté à conversation et inversement conditions sociales doivent donner sens à la communication
6.1.1.2.1. position des locuteurs statuts et rôles
6.1.1.2.2. enjeux de la communication (évaluation des risques et les bénéfices qui sont à l’œuvre dans une communication)
6.1.1.3. 3) Facteurs liés aux significations
6.2. Le modèle interlocutoire de Ghiglione (1986)
6.2.1. contrat de communication
6.2.1.1. « L’ensemble des savoirs partagés des interlocuteurs sur les enjeux et les objectifs du dialogue » Ghiglione (1986)
6.2.1.1.1. partage de risques et de bénéfices pour les interlocuteurs. On impose à l’autre sa parole mais il y a une nécessité d’établir un contrat de communication pour que la situation soit acceptable pour les interlocuteurs Ce contrat permet de préciser :
6.2.1.1.2. 4 principes du contrat de communication
7. La co-construction de la référence
7.1. Créer réalité. Monde commun de référence > com possible – coconstruction de référence
7.2. Com= interlocuteurs qui s’appuient sur système de valeurs et de connaissances partagés qui vient de leur expérience collective
7.2.1. Fonction des représentations sociales