Carte conceptuelle - Schéma du restaurant

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Carte conceptuelle - Schéma du restaurant par Mind Map: Carte conceptuelle - Schéma du restaurant

1. Connaissances déclaratives

1.1. Le « quoi » : les savoirs. Connaissances théoriques, statiques, souvent basées sur des règles.

1.1.1. Restaurants : lieu pour manger un repas sur place (vivement l’après-pandémie !), acheter des plats à emporter ou faire livrer de la nourriture. Grande typologie des lieux, allant des casse-croûtes aux restaurants gastronomiques de fine cuisine. Typologie aussi associée à la variété des mets proposés, selon des thématiques (ex : plats végétariens, cuisine libanaise, bar à pâtes, resto à sushis, etc.). Diversité dans les services offerts (ex : possibilité de louer une salle, établissement « kid-friendly », soupers-spectacles, nourriture à volonté/formule buffet, etc.)

2. Connaissances conditionnelles

2.1. Le « pourquoi », le « quand » ou bien le « dans quelles conditions ». Des séquences d’actions, classifications, catégorisations...

2.1.1. Quand on n’a pas envie de cuisiner, quand on veut célébrer un événement spécial, quand on veut partager un repas avec d’autres gens dans un lieu neutre, quand on est invités à un repas d’affaires ou dans un contexte professionnel, quand on veut encourager ou soutenir une entreprise que l’on apprécie, quand on veut découvrir un nouvel établissement, quand on est à l’étranger ou en déplacement, quand on a oublié son lunch, quand on veut se faire plaisir, quand on ne veut pas avoir à faire l’épicerie ni la vaisselle, quand on a le goût de sortir de la maison, quand on a envie de manger un mets spécifique que l’on ne se cuisine pas soi même, quand on a envie de voir des gens...

3. Architecture de la mémoire : organisation des connaissances antérieures et acquises

3.1. Mémoire de travail

3.1.1. Constitue un centre de traitement des informations. Est limitée dans le traitement du nombre d’informations simultanées (5 à 7 unités d’information ±2). Est considérée comme le niveau de la conscience. La durée de disponibilité des informations est aussi limitée (~ 10 secondes, à moins que certaines informations soient continuellement reprises). Elle est responsable de la mise en interaction des informations traitées et de la codification des nouvelles connaissances.

3.2. Mémoire à long terme

3.2.1. Réservoir illimité de connaissances, l’intégration et l’automatisation des connaissances du court vers le long terme permet de libérer de l’espace dans la mémoire de travail. Comprend des connaissances acquises dans des cadres formels, issues des expériences personnelles, incluant les connaissances sociales, affectives, motrices, intellectuelles... L’automatisation des connaissances conditionnelles et procédurales permet de libérer de l’espace de la mémoire de travail. La mémoire à long terme comprend deux types : une mémoire épisodique (autobiographique, porte la signature personnelle de chacun, sont puissantes/solides) et Une mémoire sémantique (plus universelle, mais aussi abstraite, ex : les concepts, lois, règles, principes, conditions, etc.).

4. Connaissances procédurales

4.1. Le « comment » : les savoir-faire. Connaissances actives, dynamiques, ex : des étapes nécessaires à la réalisation d’une action.

4.1.1. Réserver ou arriver spontanément, attendre, s’attabler, poser des questions sur le menu, commander, manger, boire, se régaler (ou être déçu..), goûter a de nouvelles saveurs, faire patienter les enfants à table, aller à la salle de bain, demander l’addition, régler la facture, repartir avec un plat contenant les emporte-restes, quitter les lieux.

5. Réalisé par Julie Emond DDD 7693 groupe 20 Hiver 2021, UQÀM. Sources : Ménard et St-Pierre (2014), Blain (1993), Tardif (1992)