Je n'ai rien déposé... :

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Je n'ai rien déposé... : par Mind Map: Je n'ai rien déposé... :

1. Mouv 2 (15-27) : La poétesse spectatrice de la nature

1.1. Strophe 5 : sizain

1.1.1. v.17

1.1.1.1. Métaphore des arbres "alliés" = Ce spectacle lui est agréable, sans danger, familier.

1.1.1.2. retour du "je", qui cette fois n'est pas associé à une tournure négative, cela nous rappel encore un fois le romantisme (en particulier Lamartine de “le lac").

1.1.2. v.18

1.1.2.1. la poêtesse ne parle plus à personne, et là ne peut même plus Parler tout court. Le paradoxe réside dans le faite qu'elle ne souhaite pas parler, bien qu’elle souhaite libérer sa parole et son message. (On peut ajouter que le mot voix est un jeu de mot aussi bien pour la voix, la vu (elle voit rien depuis le début poème) et le chemin) .

1.1.3. v19 - 21

1.1.3.1. elle assiste au spectacle du temps qui comme dans le poème "Mes forêts sont un champ silencieux" s'infiltre et s'immisce à travers la forêt à travers les rochers avec les mots "s'infiltrer" et "gorge" : Deux mots qui renvoient au philosophe Héraclite qui défini le temps comme un fluide liquide en raison de son instockabilité et son Flux continuel.

1.2. strophe 6

1.2.1. v.22 -23

1.2.1.1. meta."s'accorde à la lumière" = association entre le concret "les aniamaux" et l'abstait "lumière" . De plus l'ouïe est lié à la vue, les deux principaux sens permettant de percevoir la nature.

1.2.1.1.1. elle voit tout : le concret et l'abstrait (comme nous grâce à notre imagination pendant la lecture de cette forêt)

1.3. strophe 7

1.3.1. v.24

1.3.1.1. "Lenteur du monde" = Le temps ralenti, c'est une opposition au lieu commun (romantique) qu'est la fuite du temps.

1.3.2. v.25-26

1.3.2.1. On a à nouveau l'association entre le concret (elle) et l'abstrait (le temps qui ralentit" grâce au Mot étreindre. Ainsi elle observe le spectacle de la nature en se liant à elle. À l'inverse des humains qui la regarde à travers leurs écrans.

1.3.2.2. Réapparition du "je" ainsi que des tournures négatives "Je n'attends Rien" : en opposition toujours avec le romantisme, en effet les poètes du XIX chercher quelque chose en allant se réfugier dans la forêt, un endroit pour se cacher, réfléchir, écrire, pardonner le passé et observer la beauté.

1.3.2.2.1. Elle n'attend pas, elle observe seulement.

1.3.3. v.27

1.3.3.1. Ce qui l’intéresse c’est ce qui tremble (est ce un principe de vie ou d’écriture?) on le voi avec la double négation

2. Pb : Comment la poêtesse observe-t-elle la nature et le temps?

3. Mouv1 : v.1 - 15 : tout ce que la poétesse n’a pas fait

3.1. Stophre 1 :

3.1.1. v.1

3.1.1.1. Le pronom “je” introduit la poétesse dans son œuvre, et est lié à des arbres défini cela forme une opposition avec l'habituel "mes forêts". On voit ici la particularité de son dernier poème et son envie de nous le faire savoir.

3.1.1.2. La tournure négative restrictive, commence déjà par rejeté le romantisme, puisqu'elle n'y dépose pas de chagrin ou de déception, dans ces forêts.

3.1.1.3. Elle fait une seconde référence au romantisme avec l'emploi du passé composé (un temps ayant des conséquences dans le présent comme pour faire un bilan de l'héritage du mouvement qui a des conséquences sur sa propre poésie.

3.1.2. v.2 - 3

3.1.2.1. De plus l'arbre est montré comme protecteur avec "au pied" "à l'ombre" cela montre une réminiscence de la poésie romantique.

3.1.2.2. un mot qui dépasse le vers “rien” Le blanc typographique ligne remplace une virgule, elle met en Avant “rien”. La partie principale du vers forme la colonne d'un tronc d'arbre, tandis que rien représente ce qu'a déposé Hélène Dorion au pied de celui-ci (c'est magnifique)

3.2. deuxième stroph : distique.

3.2.1. On a un rejet accompagné de l’antithèse “faible/puissant” le rejet de “puissant” forme un décalage. elle explique qu'elle ne parle plus au autre ce qui peut sembler paradoxale pour une poétesse qui cherche à se faire une voix dans le Monde actuel ! Cela peut rappeler les poètes maudits.

3.3. Strophe 3 : sizain

3.3.1. énumération d’action qu’elle n’a pas faite avec la la répétition de” pas vu pas trouver”,avec un spectacle quel n’aurai pas vu,

3.3.2. elle évoque d’autre humain (périphrase pour gardien de phare) et un jardinnier : on voit deux éléments différents dférents la mer et la terre, les deux protègent la nature et sont seul.

3.3.2.1. Elle ausssi la poêtesse est seul, et grace à l'écriture elle protège la forêt en la rendant sacrée. Mais attention, il n'y a pas ici de conviction écologique flagrante.

3.3.3. Elle parle d’être humain pour une fois (c’est rare). La nature est évoquée : miel crorques(fleur) soi (un champ lexicale) trois mots qui sont une production commune de l’humain et la nature. Elle veut former comme une symbiose pour faire ce retrouvé les deux amants perduent

3.4. Strophe 4 : Nous avons un quatrain, le "je" a disparue, les négations elles sont restées.

3.4.1. v.12

3.4.1.1. l'action nié, est toujours lié à la vision "je n'ai pas vu le ciel", la vision du spectacle de la nature "ciel, étang"

3.4.1.2. L'antithèse entre ciel et étang : nous fait comprend que ses yeux on chercher dans toutes la nature du ciel à l'eau qui le reflète.

3.4.1.3. Le blanc typographique ici peut-être interprété comme temps pris par l'autrice pour baisser la tête passant du ciel à l'étant. biensûr la théorie de la virgue est toujours envisagable

3.4.2. v.13-15

3.4.2.1. connotation négative ”rien”(mis à part en constituant un vers, (la forme est au service du sens) + “déchirure” + “solitude”. = Ici on a une énième référence au romantisme : l'un des grands symboles de celui-ci fût la solitude dans la forêt. Elle dit ne pas trouver même la solitude, elle rejète donc le romantisme + cette séparation entre nat. et hum.

3.4.2.2. La métaphore filée de la désintégration est exprimée par "Solitude", "déchirure" ou "Rien". Ici Dorion explique qu'elle ne fait toujours rien malgré la réconciliation de la nature et de l'homme. Il semblerait que la déchirure soit trop profonde pour que ses vers prennent réalité !

3.4.2.2.1. les deux mots à connotations négatives sont relié par : le sens et par l’assonance en u.(déchirure entre la nature et l’homme)

4. le poème

4.1. Scan 1.pdf