Introduction à l'anthropologie

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Introduction à l'anthropologie par Mind Map: Introduction à  l'anthropologie

1. Vidéographie

1.1. En 1980, Claude Lévi-Strauss explique ses recherches ethnologiques et anthropologiques

1.1.1. Lévi-Strauss - Race et histoire

1.2. LA BASE DE L'ETHNOLOGUE : 10 livres importants à connaître

1.2.1. Ethnologie : que reste-t-il à explorer ?

1.3. Le relativisme culturel

1.3.1. L'ethnocentrisme

1.4. Cannibalisme : mode d'emploi

1.5. Mutilations Genitale Feminines

1.5.1. Denis Mukwege, un héros pour les femmes

2. Filmographie

2.1. François TRUFFAUT, "L'enfant sauvage" (1970). C'est l'histoire d'un enfant, capturé comme un animal en 1800 dans l'Aveyron par des paysans. Il sera tout d'abord utilisé comme une bête de foire, puis amené auprès du Docteur Itard, à l'Institut National des Sourds et Muets de Paris. L'enfant sauvage semble en effet être sourd et muet, et beaucoup attribuent son apparent retard mental à ce handicap. Le docteur Itard pense pourtant que ce qui apparaît comme un retard mental est le résultat de l'absence de contact avec les hommes. Il va lui apprendre le quotidien d'une vie d'enfant civilisé et le faire émerger de sa primitive animalité en lui enseignant ce qu'est le langage. L'enfant acquiert peu à peu une humanité touchante.

2.2. Abdellatif KECHICHE, "Vénus noire" (2010). Ce drame historique raconte la vie de Saartjie Baartman, une jeune femme Khoïsan originaire d'Afrique du Sud, qui fut exhibée en Europe à partir de 1810 dans des foires, réduite au statut de spécimen zoologique exotique.

2.3. Bertrand TAVERNIER, "Coup de torchon" (1981). Cette comédie dramatique, dont l'action se situe en 1938 en Afrique-Occidentale française, donne une certaine idée de la manière dont les Européens colonisateurs se comportaient avec les autochtones colonisés.

2.4. Rachid BOUCHAREB, "Indigènes" (2006). Ce drame de guerre se situe en 1943 et raconte la découverte de l'Europe, de la guerre, et des discriminations raciales, par quatre soldats maghrébins enrôlés dans l'armée française.

2.5. Michel VIOTTE, "Les autres hommes" (2006). Ce film documentaire retrace l'histoire de l'évolution de notre regard d'Européen sur l'Autre, depuis les premiers contacts avec d'autres cultures jusqu'à aujourd'hui.

2.6. Roland Joffré. 1986. Mission. Au début du XVIIIe siècle, le frère jésuite Gabriel fonde une mission sur les terres des Indiens Guaranis. A la même époque et dans les mêmes lieux sévit Mendoza, aventurier mercenaire. Ces deux hommes vont se retrouver pour lutter contre la domination espagnole et portugaise.

3. Anthropologie et mondiation

3.1. 4 ontologies

3.1.1. Caractéristiques des régimes ontologiques

3.1.2. Le totémisme

3.1.2.1. Le totémisme insiste sur la continuité entre les humains et les non-humains à la fois sur l’axe de la physicalité (en raison des substances communes) et sur l’axe de l’intériorité (en raison des essences communes).

3.1.2.1.1. cultures aborigènes australiennes

3.1.2.1.2. certaines espèces de plantes et d’animaux spécifiques y sont vues comme présentant avec des groupes d’individus particuliers un ensemble identique de qualités essentielles qui se distingue absolument d’autres groupements similaires.

3.1.3. L’animisme

3.1.3.1. L’animisme octroie aux non-humains la même intériorité que les humains, et pose qu’ils sont tous deux différenciés par les corps qu’ils habitent.

3.1.3.1.1. répandu parmi les populations autochtones d’Amazonie, du nord de l’Amérique du Nord, du nord de la Sibérie, de certaines parties d’Asie du Sud-Est et de Mélanésie

3.1.3.1.2. les animaux, les plantes et même les objets inanimés disposent d’une intentionnalité identique à celle des humains, logée à l’intérieur d’une enveloppe corporelle mobile qui n’en détermine pas moins, du fait de ses caractéristiques anatomiques, le type de monde auquel ils ont accès et la manière dont ils le voient

3.1.4. Le naturalisme

3.1.4.1. Le naturalisme est en opposition symétrique avec l’animisme et caractérise le monde moderne et la pensée occidentale. Il insiste sur les différences entre les humains et les non-humains sur l’axe de l’intériorité : seuls les êtres humains sont censés avoir une individualité significative, qu’elle soit individuelle (l’esprit, la capacité à symboliser) ou collective (le Volksgeist, les cultures).

3.1.4.1.1. En europe depuis Descartes et encore plus depuis Darwin

3.1.4.1.2. les humains et les non-humains sont liés ensemble par leur physicalité commune : ils appartiennent à un continuum régi par les mêmes lois physiques, biologiques et chimiques.

3.1.5. L’analogisme

3.1.5.1. l’analogisme suppose des discontinuités sur les deux axes et reconnait des micro-différences entre les composantes du monde à un niveau infra-individuel, tout en établissant des types variés de correspondance (d’où le nom d’« analogisme ») entre ces éléments hétérogènes de manière à les intégrer dans un continuum en apparence ininterrompu.

3.1.5.1.1. dominante en Europe de l’Antiquité à la Renaissance, et il demeure extrêmement répandu ailleurs : en Chine et en Inde, en Afrique de l’Ouest ou dans les cultures autochtones du Mexique et des Andes.

3.1.6. elles ne doivent pas être considérées comme constituant une typologie de « visions du monde » hermétiquement isolées

3.1.6.1. Selon les circonstances, chaque humain est capable de procéder aux quatre inférences, mais il est plus probable qu’il portera un jugement d’identité selon le contexte ontologique (soit la systématisation pour un groupe d’humains d’une seule des quatre inférences) dans lequel il ou elle a été socialisé(e).

3.1.6.1.1. certains probablement naturalistes, ils peuvent quand même se conduire de temps en temps comme des animistes quand ils parlent à leur chat, leur chien ou leur voiture, comme s’ils pouvaient ainsi établir une sorte de relation intersubjective avec eux.

3.1.6.1.2. Ils peuvent aussi de temps en temps se conduire comme des analogistes s’ils consultent leur horoscope dans un journal et s’attendent (sans grande conviction) à ce qu’il y ait une sorte de correspondance entre le macrocosme et le microcosme

3.1.6.2. la situation la plus répandue est peut-être celle de l’hybridité, où un mode d’identification en domine légèrement un autre, avec pour conséquence une pluralité de combinaisons complexes.

3.1.6.2.1. cette typologie quadripartite doit être envisagée comme procédé heuristique plutôt que comme méthode de classification des sociétés

3.1.6.3. une fois que ce processus de mondiation a été mis en place, le résultat n’en est pas une vision du monde, soit une version parmi d’autres de la même réalité transcendantale ; le résultat en est un monde à part entière, système de propriétés partiellement actualisées, saturées de sens et remplies d’agentivité, mais qui chevauche en partie d’autres systèmes similaires qui ont été actualisés différemment et institués par des personnes différentes.

3.1.7. Philippe Descola

3.1.7.1. .

3.1.7.1.1. .

3.1.7.2. P. Descola, Par-delà nature et culture, Paris, Gallimard, 2005

3.2. classification et catégorisation

3.2.1. processus de filtrage qui sélectionne certaines propriétés d’objets et de relations

3.2.1.1. multidimensionnalité des phénomènes.

3.2.1.1.1. distinction entre les qualités primaires et secondaires

3.2.1.1.2. Claude Lévi-Strauss : « la logique du concret » = la capacité qu’a l’esprit humain d’établir des relations de correspondance et d’opposition entre certains traits saillants de notre environnement perçu.

3.2.2. La mondiation

3.2.2.1. la stabilisation de certaines caractéristiques de ce qui nous arrive (pour rester dans l’esprit de la définition du monde par Wittgenstein) dépend aussi, et peut-être surtout, de la prédication ontologique

3.2.2.2. Ce qu’il y a, indépendamment de nous, ce n’est pas un monde complet et autonome qui attend qu’on le représente et qu’on en rende compte selon différents points de vue, mais, plus probablement, un grand nombre de qualités et de relations qui peuvent être actualisées ou non par les humains, en elles-mêmes ou au-dehors, selon la manière dont elles répondent à certains choix ontologiques élémentaires.

3.2.2.2.1. Les objets matériels et immatériels de notre environnement ne demeurent pas au royaume des idées éternelles dans l’attente d’être capturés (si imparfaitement que ce soit) par nos facultés, pas plus qu’ils ne sont de simples constructions sociales donnant forme et sens à de la matière brute ; ce sont simplement des amas de propriétés dont nous détectons une partie, tandis que d’autres nous échappent.

3.2.2.3. la pluralité des mondiations résulte d’une pluralité de régimes ontologiques

3.2.2.3.1. Ces schémas cognitifs régulent les habitus, guident les inférences, filtrent les perceptions et résultent largement des affordances que le monde offre à l’esprit spécifiquement humain.

3.2.2.3.2. une des caractéristiques universelles de l’esprit humain dans laquelle ces dispositions prennent racine est la conscience d’une dualité entre les processus matériels (ce que j’appelle « la physicalité ») et les états mentaux (que j’appelle « l’intériorité »).

3.2.2.3.3. En ayant recours à cette grille universelle, les humains sont à même d’accentuer ou de minimiser la continuité et la différence entre les humains et les non-humains.

3.2.2.4. Caractéristiques des régimes ontologiques

3.2.2.4.1. Physicalité

3.2.2.4.2. Intériorité

4. Les styles d’action doivent être compris comme des modèles cognitifs et sensori-moteurs de différentes pratiques, en partie innées, et en partie résultant du processus réel d’interaction entre les organismes, soit des manières pratiques dont on s’intègre avec les autres dans un environnement donné

5. Livres

5.1. Didier DAENINCKX. 1998. Cannibale. Folio. Illustrant la problématique des zoos humains, ce roman historique raconte les mauvais traitements réservés aux Kanak lors de l'Exposition coloniale de 1931 à Paris.

5.2. David VAN REYBROUCK. 2010. Congo. Une histoire. Babel. Ce très bel essai historique constitue une véritable somme sur l'histoire du Congo, depuis avant l'arrivée des colonisateurs jusqu'à aujourd'hui.

5.3. HERGÉ. 1931. Tintin au Congo. Casterman (1931). Un grand classique de la BD, qui illustre le caractère paternaliste et dominant de la Belgique à l'égard de sa colonie au début des années 1930.

6. Histoire

6.1. de l'antiquité au XVIe siècle

6.1.1. Herodote

6.1.1.1. Ve siècle av JC

6.1.1.1.1. divise l'humanité en deux

6.2. le moyen âge

6.2.1. marco polo

6.3. A partir du XVIe siècle

6.3.1. on passer petit à petit du monde clos à l’univers infini

6.3.2. le monde s'agrandit dans l'espace (Copernic, Galilée)

6.3.3. le monde s'agrandit sur terre (C Colomb 1492, Vasco de Gama 1497, Magellan 1522)

6.3.4. La controverse de Valladolid

6.3.4.1. la question était de savoir si les espagnols pouvaient coloniser le nouveau monde et dominer ses habitants

6.3.4.2. 1550 : ces peuples font-ils partie de l'humanité ? sont-ils le chainon manquant entre l'homme et l'animal ? ces créatures ont-elles une âme ? (indiens d'amérique)

6.3.4.2.1. au lieu de supprimer les indiens il est préférable de les civiliser

6.3.4.2.2. debut de la traite africaine ++

6.4. du XVIe au XVIIIe siècle

6.4.1. Alexandre-César Chavanne. 1788. Anthropologie ou science générale de l’homme (en treize volumes)

6.4.1.1. ouvrage dans lequel apparaît pour la première fois le terme ethnologie

6.4.1.2. la branche de l'anthropologie qui étudie les sociétés primitives

6.4.2. un genre humain décliné en plusieurs races

6.4.2.1. "bon sauvage"

6.4.2.1.1. Montaigne, Rousseau

6.4.2.2. barbare deshumanisé

6.5. au XIXe siècle

6.5.1. Joseph-Marie de Gérando. 1800. Considérations sur les diverses méthodes à suivre dans l'observation des peuples sauvages

6.5.1.1. démarche ethnographique

6.5.1.1.1. "le premier moyen pour bien connaître les sauvages c'est de devenir en quelque sorte comme l'un d'entre eux"

6.5.1.1.2. = observation participante

6.5.2. engouement pour les "primitifs"

6.5.2.1. arts premiers, musées ethographiques, sociétés savantes

6.5.2.2. l'ethnologie participe à la hiérarchisation des "races" humaines

6.5.2.2.1. ethnologie = raciologie

6.5.2.2.2. ethnologie = raciologie

6.5.2.3. critique de Emile Durkheim

6.5.2.3.1. "l'ethnologie est devenue une science qui sous prétexte d'étudier les autres peuples les compare à la société occidentale, les classifie, les hiérarchisent et obtient des conclusions qui permettent à chaque fois de justifier l'immense supériorité de l'occidental blanc chrétien sur le reste du monde"

6.6. du XIXe au XXe siècle

6.6.1. ethnologie = colonialisme = "mission civilisatrice" comme un devoir occidental chrétien

6.6.2. civiliser, évangéliser, contrôler, dominer, prospecter et profiter (matières premières)

6.6.3. Sociologie

6.6.3.1. Auguste Comte

6.6.3.1.1. etude des sociétés complexes, modernes, civilisées, industrialisées

6.6.4. ethnologie

6.6.4.1. Alexandre-César Chavanne

6.6.4.1.1. etude des sociétés simples, lointaines et exotiques, petites, à technologie rudimentaire, vierges, à fonctions sociales élémentaires

6.7. au XXe siècle

6.7.1. décolonisation, guerre, post-colonialisme, indépendantisme, "réparation"

6.7.2. Distanciation communautaire

6.7.2.1. il existe une séparation géographique entre l'anthropologue et les peuples observés

6.7.2.2. cette distance géographique est remplacée par une distance sociale, communautaire

6.7.2.2.1. "Toute société différente de la nôtre est objet, tout groupe de notre propre société, autre que celui dont nous relevons, est objet, tout usage de ce groupe même, auquel nous n’adhérons pas, est objet."

6.7.3. non distanciation communautaire

6.7.3.1. enquêteur proche du milieu de l'enquête

6.7.3.1.1. Pierre Bourdieu

6.7.4. relativisme culturel et ethnocentrisme

6.7.4.1. "Cette attitude de pensée, au nom de laquelle on rejette les « sauvages » (ou tous ceux qu'on choisit de considérer comme tels) hors de l'humanité, est justement l'attitude la plus marquante, la plus distinctive de ces sauvages mêmes. En refusant l'humanité à ceux qui apparaissent comme les plus « sauvages » ou « barbares » de ces représentants, on ne fait que leur emprunter une de leurs attitudes typiques. Le barbare c'est d'abord l'homme qui croit à la barbarie."

6.7.4.1.1. Claude Lévi-Strauss. 1952. Race et histoire

6.7.4.2. Relativisme culturel

6.7.4.2.1. le relativisme culturel ne doit pas se confondre avec le relativisme moral

6.7.4.2.2. penser la différence sans jugement de valeur, en ayant conscience de la diversité des pratiques culturelles, sans jamais juger que l'une puisse être meilleure qu'une autre

7. Définitions

7.1. Ethnologie

7.1.1. Étude explicative et comparative de l'ensemble des caractères de groupes humains, particulièrement des populations « primitives », qui tente d'aboutir à la formulation de la structure et de l'évolution des sociétés.

7.1.2. Ethnologie et ethnographie sont deux démarches distinctes et successives

7.1.2.1. l'ethnographie, de type pratique

7.1.2.2. l'ethnologie, de type plus formel et réflexif.

7.2. Anthropologie

7.2.1. Étude de l'homme dans son ensemble. Étude des traits physiques de l'homme en tant qu'il appartient au règne animal et à la nature physique. Étude générale de l'homme sous le rapport de sa nature individuelle ou de son existence collective, sa relation physique ou spirituelle au monde, ses variations dans l'espace et dans le temps, etc.

7.2.1.1. La tâche principale de l’anthropologie n’est pas de fournir des « descriptions consistantes » d’institutions, d’habitudes culturelles et de pratiques sociales spécifiques (c’est là le travail de l’ethnographie), mais de mettre en lumière l’origine des styles distincts d’action et de pensée humaine pour comprendre leurs modes de combinaison et cartographier leur distribution

7.2.1.1.1. Descola, P. (2011). Cognition, perception et mondiation. Cahiers philosophiques, 127, 97-104. https://doi.org/10.3917/caph.127.0097

7.2.2. l'anthropologie désigne le discours qui porte sur l'être humain et par extension la science qui va s'intéresser à cet être humain

7.2.2.1. l'anthropologie physique ou biologique qui a pour objectif d'étudier l'être humain dans ses aspects physiques et biologiques on étudie la diversité de la morphologie et de la physiologie des groupes humains

7.2.2.2. l'anthropologie culturelle appelée également en anthropologie sociale ou encore anthropologie sociale et culturelle. l'anthropologie culturelle c'est la discipline qui envisage la manière dont les organisations sociales économiques politiques religieuses se développe dans les différentes sociétés du monde

7.2.2.2.1. c'est la science qui place toutes les cultures sur un pied d'égalité et qui étudie tous les peuples, toutes les sociétés avec le même intérêt et idéalement la même objectivité

7.2.2.2.2. elle étudie les rites, les croyances, les structures de parenté, de mariage, les institutions, l'économie des différents peuples

7.2.2.3. l'anthropologie conceptuelle étudie un thème spécifique, la mort, la maladie, le corps, l'amour, le sport, le genre, le travail dans une ou plusieurs sociétés

7.2.2.3.1. Maurice Godelier. 2014. La mort et ses au-delà, Paris, CNRS Edition

7.2.2.3.2. Marcel Mauss. 1924. essai sur le don. Puf

7.2.2.3.3. Quand les morts secouent nos habitudes

7.2.3. A quoi ça sert ?

7.2.3.1. Rendre possible ou plus efficace certains projets développement

7.2.3.2. Connaitre des sociétés dans lesquelles nous aurions très bien pu naître ou vivre

7.2.3.3. Par la distance qu'elle nous oblige à prendre sur notre société l'anthropologie nous offre à nous connaître nous-mêmes

7.2.3.3.1. "Le poisson est le plus mal placé pour s’apercevoir de l'existence de l'eau"

7.2.3.3.2. Nos modes de vie, de pensées, de comportements, nos habitus sont des constructions culturelles et sociales

7.3. Ontologie

7.3.1. Partie de la philosophie qui a pour objet l'étude des propriétés les plus générales de l'être, telles que l'existence, la possibilité, la durée, le devenir

7.3.2. Partie de la philosophie qui a pour objet l'élucidation du sens de l'être considéré simultanément en tant qu'être général, abstrait, essentiel et en tant qu'être singulier, concret, existentiel.