1. Troisième Partie : Résultats
1.1. L'expérience est un succès
1.1.1. Point de vue global
1.1.1.1. Collecte de données sur les trois types de stimulus à différents niveaux
1.1.2. Point de vue particulier
1.1.2.1. Réussite pour chaque sujet
1.1.3. Performance
1.1.3.1. Performance sur un mot mieux réussie à l'inverse de la performance sur une lettre
1.1.3.2. Idem sur deux mots et sur deux lettres
1.1.3.2.1. Dépend si la lettre cruciale est sur la rangée du bas
1.2. Pour chaque sujet
1.2.1. Temps long plus simple
1.2.2. Temps court plus complexe
2. Quatrième partie : Débats
2.1. Hypothèse 1
2.1.1. Estes et Taylor 1966
2.1.1.1. Il y a une limite au nombre de lettres qui peuvent être traitées en parallèles
2.1.1.2. Les mots seuls sont plus rapidement traitées que les lettres seules
2.1.1.2.1. Rejet du système de traitement d'informations sensorielles
2.1.1.2.2. Lettres plus rapidement oubliées
2.1.2. Le traitement dépend de la stratégie et de la série
2.1.2.1. Rechercher des lettres
2.1.2.1.1. Tout sera basé sur les lettres
2.1.2.2. Rechercher des mots
2.1.2.2.1. Tout sera basé sur les mots
2.1.3. Les données prélevées ne permettent pas de donner une explication sur pourquoi les informations antérieurs interfèrent sur la performance
2.2. Hypothèse 2
2.2.1. Une lettre est plus difficile à trouver dans tout le champs du tachistoscope plutôt que quatre (mot)
2.2.2. Meilleure performance sur les mots car meilleure détection
2.2.2.1. Plus de surface prise par les mots
2.2.2.2. Cattel (1886) : Plus facile d'associer un mot à une image plutôt qu'une lettre seule
2.3. Hypothèse 3
2.3.1. Neisser (1967)
2.3.1.1. Analyseurs passifs qui opèrent sur l'information en parallèle
2.3.1.2. Concept de "construction" qui influence sur la perception du mot
2.3.1.2.1. Retenir quelque chose qui a du sens est plus simple
2.4. Conclusion de l'auteur
2.4.1. Pas de conclusion générale, les hypothèses sont en suspens mais elles se rejoignent
3. Première Partie : Observation d'un phénomène
3.1. Présentation d'un certain nombre d'éléments (ex : lettres), on constate que le nombre de réponse correctes ne dépasse pas une certaine valeur, indépendamment du nombre de lettres présentées
3.1.1. Modèle de George Sperling
3.1.1.1. 1960
3.1.1.1.1. Il y a une certaine limite appelée l'empan d'appréhension
3.1.1.1.2. Suggère une limite fixe à l'information sensorielle
3.1.1.1.3. Oublie des données au moment de la retransmission
3.1.1.2. 1967
3.1.1.2.1. Existence d'un processus parallèle de traitement de l'information visuelle (séquentiellement recodée)
3.1.2. Modèle de Estes et Taylor
3.1.2.1. 1966
3.1.2.1.1. La présentation initiale disparait comme une unité après que chaque lettre eut été traité à un rythme constant
4. Deuxième partie : Méthode
4.1. Plan général de l'expérience
4.1.1. Plusieurs sujets soumis à l'expérience
4.1.1.1. 48 observations
4.1.2. Installations aléatoires pour de meilleurs résultats
4.1.3. Le temps du stimulus est déterminé séparément et aléatoirement
4.2. Matériels et appareils
4.2.1. 216 mots choisis qui peuvent donner un nouveau mot juste avec une lettre changée
4.2.1.1. Système de lettres "cruciales"
4.2.2. Tachistoscopes
4.2.2.1. Données visuelles
4.2.2.2. Données sonores
4.3. Procédure
4.3.1. Différence notable entre chaque session
4.3.1.1. Session 1
4.3.1.1.1. 90% de précision par sujet
4.3.1.1.2. Permet de déterminer la durée "élastique"
4.3.1.2. Session2
4.3.1.2.1. 60% de réussite
4.3.2. Différents types de jugements
4.3.2.1. Capable d'identifier la lettre "cruciale" sans regarder les autres lettres
4.3.2.2. Capable de choisir entre deux lettres "alternatives"
4.3.2.3. Pas capable de choisir entre deux lettres "alternatives"
4.3.2.4. Ne vois pas du tout le stimulus
4.4. Sujets
4.4.1. Volontaire femme de l'université de Michigan capables de lire
4.4.1.1. Bonne vision
4.4.1.1.1. Avec lunettes
4.4.1.1.2. Sans lunettes