1. Seconde partie pratique
2. Introduction
2.1. Ce que l'on dit aujourd'hui dans le discours pédagogique : "société de connaissance", avènement de la technologie qui va permettre la fin des échecs scolaires, le libre recours à sa créativité...etc Mais nous avons toujours besoin de l'aide du professeur, indispensable.
2.2. Avec l'éducation nationale, il y a un alignement des pensées.
2.3. Nous sommes dans une conception libérale du monde: accumulation de compétences individuelles qui ne va pas en direction de "l'intérêt collectif".
2.4. Nous sommes vu comme des consommateurs, guidés par l'immédiateté et nos pulsions. Il n'y a plus d'imagination, de "rêverie" face au numérique .
2.5. Le professeur doit être un médiateur, un guide dans un monde ou le numérique s'est imposé. il nous faut des piliers pédagogique pour séparer enseignement et assujettissement. Dans le monde dans lequel grandissent nos élèves, ils sont des digital natives, il faut faire avec. Il ne faut pas renoncer à l'exigence de la pensée".
3. Partie 2 : L'usage des technologies numériques peut contribuer à l'émergence de la pensée à condition que l'immédiateté qu'elles promeuvent n'écarte pas l'exigence du sursis.
3.1. L'immédiateté empêche de penser : on ne prend pas le temps de réfléchir car on répond aussitôt. C'est un réflexe, une pulsion.
3.1.1. L’immédiateté empêche de penser
3.1.2. image de la télécommande.
3.1.2.1. Accès à tout, tout le temps et tout de suite.
3.2. Élèves conditionnés
3.2.1. pas l'habitude de penser
3.2.1.1. Rôle de l'enseignant de lui apprendre à penser
3.2.1.1.1. Difficultés à répondre à tous les élèves en même temps.
3.3. Ecole a changé.
3.3.1. école = service
3.3.1.1. Perte de l'aspect : structure collective
3.3.1.1.1. Mais...
3.3.2. Retour en arrière impossible
3.3.2.1. Mais importance de nouveaux rituels.
3.4. Rôle de l'école: apprendre aux enfants à réfléchir avant de répondre.
3.5. Ne pas rayer le numérique de l'école
3.5.1. Apprendre à utiliser le numérique à bon escient.
4. Partie 1 : Émergence de la pensée tout en restant proche de la vérité
4.1. rôle Professeur
4.1.1. Accompagnement à devenir un être pensant
4.1.2. Guide dans la consultation et construction d'un savoir numérique
4.1.3. Acte pédagogique
4.1.3.1. Intention du savoir
4.1.3.2. Recherche de la vérité
4.1.4. Mediateur
4.2. Culture numérique
4.2.1. Avantages
4.2.1.1. Aspect ludique
4.2.1.1.1. Avancer à son propre rythme
4.2.1.2. Simplicité
4.2.1.3. Rapidité
4.2.2. Inconvenients
4.2.2.1. Beaucoup d'informations
4.2.2.2. Trop accessible
4.2.2.3. Pas de remise en question de ses propres idées
4.2.2.4. Accès aux savoirs déjà connus
4.2.2.5. Recherche de la vérité compliquée
4.2.2.6. Inégalités culturelles et économiques
4.3. Elève
4.3.1. Actif
4.3.2. Pédagogie nouvelle
4.3.3. Enseignement non magistral
4.3.4. Echanges avec autrui
4.3.5. Autonomie
4.3.6. Être pensant
5. Partie 3 : "L'usage des technologies numériques peut contribuer à l'émergence de la pensée à condition que l'éducation se donne pour fin d'aider les enfants à entrer dans le symbolique
5.1. Enfants l'évolution de la pensée symbolique
5.1.1. Dut à l'observation du contexte
5.1.2. Dut à l'imaginaire
5.1.3. Dut à l'abstraction
5.1.4. Dut au raisonnement
5.2. Numérique
5.2.1. Proposition d'un certain nombre d'abstraction
5.2.1.1. = limitation de pensé
5.2.2. Présence de la société de consommation au sein du numérique qui tend à influencer des comportements à des fins de consommation
5.3. Partir des interactions humaines qui replacent l'individu au centre en utilisant un outil
5.3.1. L'enseignant guide les élèves
5.3.2. L'enseignant éclaire les élèves
5.4. MAIS : Usages du numérique possible à l'école
5.4.1. On pense d'abord la notion avant de la vérifier, être cultivé avant de rechercher=> inégalités
5.4.2. Car c'est un Moyen d'exercer l'intelligence pédagogique
5.4.3. En tant qu'objet de travail et pas seulement outil de travail
5.4.4. Apportent des contradictions pédagogiques
5.4.5. Transmet savoir mais si l'élève refuse => ne peut pas accéder au savoir