l’intervention économique des pouvoirs publics

Comienza Ya. Es Gratis
ó regístrate con tu dirección de correo electrónico
l’intervention économique des pouvoirs publics por Mind Map: l’intervention économique des pouvoirs publics

1. Fluctuations économiques, et politiques de régulation des cycles

1.1. Les fluctuations économiques

1.1.1. Qu'est ce que c'est ?

1.1.1.1. Fluctuations économiques : définition

1.1.1.2. Régularité et périodicité qu’on retrouve dans les analyses historiques des cycles

1.1.1.2.1. Les analyses

1.1.1.2.2. Nuancer cette définition des cycles

1.1.1.3. Une économie vraiment cyclique ?

1.1.1.4. Une économie qui ne connaîtrait plus de cycles ?

1.1.2. Des retournements du cycle aux causes nombreuses

1.1.2.1. Des facteurs exogènes ou endogènes ?

1.1.2.1.1. Dans le cas de facteurs exogènes, un choc extérieur fait sortir l’éco de son trend de LT

1.1.2.1.2. Des cycles endogènes

1.1.2.2. Les facteurs liés à l’économie réelle : le rôle de l’investissement, le rôle de l’innovation

1.1.2.2.1. Le rôle de l’investissement dans le retournement du cycle

1.1.2.2.2. Le rôle de l’innovation dans le retournement de la conjoncture

1.1.2.3. Les facteurs liés à la sphère monétaire : le rôle des banques, le rôle de l’endettement (public notamment), le rôle des taux de change

1.1.2.3.1. L’analyse de Juglar du rôle des banques dans la récession

1.1.2.3.2. L’analyse de Wicksell du rôle des banques dans la récession

1.1.2.3.3. Le point de départ de la crise peut être une crise bancaire

1.1.2.3.4. Les changes flottants ne sont pas non plus une garantie contre les difficultés économiques

1.1.2.4. Les facteurs liés à la sphère financière : le rôle de la (dé)valorisation des actifs immobiliers et boursiers

1.1.2.5. Les facteurs psychologiques : le rôle de la confiance

1.1.2.5.1. Quand le retournement est lie a un manque de confiance (rappel)

1.1.2.5.2. Et, le cas contraire : quand le retournement est lié a un excès de confiance ?

1.2. Les crises

1.2.1. Crise : définition

1.2.2. Le cercle vicieux de la crise : l’enlisement à travers deux exemples

1.2.2.1. L’exemple de la crise de 1929 (la Grande Dépression) : une crise qui devient mondiale

1.2.2.2. L’exemple de la crise de 2008 : une crise « classique » (chap 2)

1.3. Les politiques de lissage de l’activité économique et de régulation des cycles

1.3.1. L’État face aux crises au XIXe siècle : l’absence d’interventions

1.3.1.1. La pensée classique et les crises : un défi ?

1.3.1.2. Faiblement théorisée : une intervention minimale de l’État face aux crises au XIXe

1.3.1.2.1. Sur le plan monétaire

1.3.1.2.2. Sur le plan social

1.3.2. La crise de 1929 rend légitime l’intervention de l’État jusqu’à la fin des Trente Glorieuses

1.3.2.1. Des politiques plus interventionnistes après la crise de 1929

1.3.2.2. Des politiques de stop and go relativement efficaces durant les Trente Glorieuses

1.3.2.2.1. Un interventionnisme légitime théoriquement

1.3.2.2.2. Un contexte institutionnel et économique favorable

1.3.2.2.3. Des applications différentes selon les pays

1.3.2.2.4. Des politiques globalement efficaces

1.3.3. La fin du XXe est marquée par la remise en cause de l’intervention de l’État

1.3.3.1. Des politiques conjoncturelles moins efficaces

1.3.3.1.1. Des politiques conjoncturelles moins efficaces face à la « stagflation »

1.3.3.2. Des politiques conjoncturelles critiquées théoriquement (rappel)

1.3.3.2.1. La critique des monétaristes (rappel chap 4)

1.3.3.2.2. La critique de la NEC (rappel)

1.3.3.2.3. La critique de l’école du Public Choice

1.3.3.3. Des politiques conjoncturelles globalement moins activistes dans les années 1980-2000s

1.3.3.3.1. Un tournant monétariste pour casser l’inflation

1.3.3.3.2. Des PM de « ciblage de l’inflation » dans les 1990-2000s

1.3.3.3.3. Des PB encadrées par des règles et une orientation globalement restrictive

1.3.4. Le renouveau des politiques conjoncturelles suite à la crise de 2008

1.3.4.1. Deux crises de grande ampleur (rappel)

1.3.4.1.1. La crise de 2008 : une « grande crise » qui remet au jour les mécanismes keynésiens

1.3.4.1.2. La crise éco liée à la pandémie de Covid

1.3.4.2. Des PM poussées en territoire « non conventionnel ».

1.3.4.2.1. Les leviers employés

1.3.4.2.2. Le bilan de ces politiques monétaires

1.3.4.3. Des PBs en voie de réhabilitation

1.3.4.3.1. Une consolidation trop précoce après la crise de 2008

1.3.4.3.2. Un contexte globalement plus favorable à la réhabilitation des PBs de relance

2. Les politiques structurelles

2.1. Politiques structurelles : présentation des objectifs

2.1.1. Modalités des politiques structurelles

2.1.2. Les objectifs des politiques structurelles

2.1.2.1. Améliorer la croissance potentielle

2.1.2.2. Les politiques structurelles cherchent à lutter contre les défaillances de marché

2.1.2.2.1. Existence de rendements d’échelle croissants, qui conduisent a un monopole naturel

2.1.2.2.2. Existence d’asymétries d’informations.

2.1.2.2.3. Existence d’externalités : (positives ou négatives)

2.1.2.2.4. Existence de biens (ou plus précisément des services) « collectifs »

2.1.2.3. Les politiques structurelles cherchent enfin à rendre la croissance plus soutenable, du point de vue environnemental et social (inégalités)

2.1.3. Distinguer les politiques structurelles et la politique conjoncturelle

2.2. Comment accroître la croissance potentielle : hausse du volume ou de la productivité des facteurs de production ?

2.2.1. Pour augmenter la croissance, augmenter le volume des facteurs de production : une solution limitée à LT

2.2.1.1. Accroître le stock de K : rendre la croissance plus capitalistique

2.2.1.2. Accroître le volume de travail

2.2.2. Pour augmenter la croissance, il faut améliorer la productivité des facteurs de production

2.2.2.1. Intérêts

2.2.2.2. La mise en place de politiques pour améliorer le capital humain

2.2.2.3. Modalités des politiques éducatives

2.2.3. La politique industrielle : une politique structurelle centrale

2.2.3.1. Définition

2.2.3.2. Justifications : pourquoi une politique industrielle ?

2.2.3.2.1. Justifications théoriques de la politique industrielle

2.2.3.2.2. Justifications de la politique industrielle par le rôle moteur de l’industrie dans l’économie

2.2.3.2.3. Une intervention de l’État dans le secteur industriel d’autant plus justifiée que le pays concerné connaît un retard industriel

2.2.3.3. Modalités de la politique industrielle

2.2.3.3.1. Une politique industrielle dite « verticale »

2.2.3.3.2. Vers une politique industrielle plus « horizontale »

2.2.3.3.3. Une politique industrielle longtemps en retrait en Europe

2.2.3.3.4. Malgré quelques résultats industriels européens, la politique industrielle européenne semble pourtant vouée à l’échec

2.2.3.3.5. Un retour en grâce des politiques industrielles ?

2.2.3.4. Une politique de l’industrie qui va de par avec la politique de l’innovation

2.2.3.4.1. Justifications de la politique d’innovation

2.2.3.4.2. Comment favoriser l’innovation dans l’UE ?

2.2.4. Le rôle de la politique de la concurrence dans la recherche de compétitivité

2.2.4.1. Justifier la politique de la concurrence

2.2.4.1.1. Dans la théorie économique : la concurrence est perçue comme vertueuse pour les courants fondateurs

2.2.4.1.2. Les vertus de la concurrence

2.2.4.1.3. Une double mission pour la politique de la concurrence

2.2.4.2. La naissance de la politique de la concurrence aux USA

2.2.4.3. Les modalités d’intervention de la politique de la concurrence : le cas européen

2.2.4.3.1. Le contrôle des ententes et des cartels (mesures anti-trust)

2.2.4.3.2. La lutte contre les abus de position dominante (mesures anti-trust)

2.2.4.3.3. Le contrôle des concentrations

2.2.4.3.4. Le contrôle des aides de l’État

2.2.4.4. Toutefois, comment trouver le bon degré de concurrence ?

2.2.4.4.1. Les inconvénients d’une politique de la concurrence trop intransigeante

2.2.4.4.2. Une politique de la concurrence vraiment si intransigeante ?

2.2.4.4.3. Analyser la concurrence autrement

2.3. Comment améliorer la soutenabilité de la croissance économique ?

2.3.1. Pourquoi ? Car la croissance économique n’est pas soutenable (ni durable) d’un point de vue environnemental

2.3.1.1. La croissance dégrade l’environnement

2.3.1.2. En retour, la dégradation de l’environnement menace à son tour la pérennité de la croissance

2.3.2. Quelle soutenabilité ?

2.3.2.1. La soutenabilité faible : ou la confiance dans l’innovation.

2.3.2.2. La soutenabilité forte : limiter la croissance économique

2.3.3. Les différents outils

2.3.3.1. L’action par la réglementation

2.3.3.2. L’action par les quantités

2.3.3.3. L’action par les prix

2.3.3.3.1. La mise en place de taxes

2.3.3.3.2. La mise en place de subventions

3. Les contraintes auxquelles se heurtent les politiques économique

3.1. La dépense publique : justifications, efficacité, soutenabilité ?

3.1.1. Pourquoi l’intervention publique ? (Rappels)

3.1.1.1. Montrer les effets délétères de la rigueur budgétair

3.1.1.2. Justifier la dépense publique

3.1.1.3. De nombreux exemples de politique de relance par la dépense publique

3.1.2. Une dépense publique inefficace, dangereuse, voire impossible

3.1.2.1. Une dépense publique incapable d’atteindre son objectif

3.1.2.1.1. Inefficacité de la dépense publique contre le chômage

3.1.2.1.2. Inefficacité de la dépense publique à agir rapidement

3.1.2.1.3. Inefficacité du multiplicateur keynésien face a la contrainte extérieure

3.1.2.2. Une dépense publique aux effets néfastes

3.1.2.2.1. En économie ouverte, la relance aggrave

3.1.2.2.2. Les dépenses publiques entravent les investissements privés

3.1.2.2.3. La dépense publique est génératrice d’inflation (rappel)

3.1.2.2.4. Une nouvelle conception théorique de l’intervention publique invite à limiter la dépense publique

3.1.2.3. Une dépense publique insoutenable, voire impossible désormais ?

3.1.2.3.1. Une dépense publique croissante : l’explosion des déficits et des dettes publiques

3.1.2.3.2. La hausse de la dette publique menace la dépense publique

3.1.3. Faut-il alors réduire la dépense publique ?

3.1.3.1. De la nécessite d’encadrer la dépense publique : la supériorité de la règle sur la discrétion

3.1.3.2. Encadrer les dépenses publiques : une nécessitée dans le cadre d’une union monétaire

3.1.3.3. Encadrer la dépense publique, une solution d’autant plus pertinente que …

3.1.3.3.1. Les stabilisateurs automatiques sont à l’œuvre

3.1.3.3.2. La rigueur budgétaire peut être expansionniste

3.1.3.3.3. Les autorités monétaires ont une action efficace

3.1.3.4. Assurer la soutenabilité de la dette publique n’est pas réduire cette dernière

3.1.3.4.1. Plus que la réduction de la dette, il faut viser la soutenabilité de la dette

3.1.3.4.2. On peut envisager autrement que par un seuil la soutenabilité de la dette

3.1.3.4.3. Propositions de réforme des règles budgétaires

3.2. Les critiques des interventions des autorités monétaires

3.2.1. La politique monétaire : quelques rappels utiles

3.2.1.1. Objectifs finals des politiques monétaires

3.2.1.2. Les objectifs intermédiaires de la BC

3.2.2. Des outils efficaces d’intervention de la BC ?

3.2.2.1. Les outils conventionnels

3.2.2.1.1. Le taux d’intérêt directeur, principal outil de la PM

3.2.2.1.2. Le taux des opérations principales de refinancement (ou taux des opérations d’open market)

3.2.2.1.3. La politique des réserves obligatoires

3.2.2.1.4. L’encadrement du crédit

3.2.2.2. L’inefficacité des outils traditionnels

3.2.2.2.1. D’une part, la hausse de la masse monétaire peut n’avoir aucune influence sur les taux d’intérêt

3.2.2.2.2. D’autre part, toute baisse du taux d’intérêt peut n’avoir aucun effet sur les décisions d’investissement

3.2.2.3. Faut-il passer aux outils non-conventionnels ?

3.2.2.3.1. Le quantitative easing (QE)

3.2.2.3.2. le qualitative easing (ou assouplissement qualitatif)

3.2.2.3.3. L’ampleur des opérations d’assouplissement (quanti et quali : le credit easing)

3.2.2.3.4. Forward guidance (ou orientations prospectives)

3.2.2.3.5. Des politiques non-conventionnelles efficaces

3.2.2.4. Les critiques des outils non-conventionnels

3.2.2.4.1. Des mesures qui apportent un soutien limité à l’économie réelle

3.2.2.4.2. Un coût de sortie des mesures non-conventionnelles très élevé

3.2.2.4.3. Des mesures qui risquent d’accroître l’instabilité financière

3.2.2.4.4. Des mesures qui menacent le taux de change de l’euro

3.2.2.4.5. Plus généralement, quelle efficacité de la PM aujourd’hui face au retour de l’inflation ?

3.2.3. Des règles institutionnelles vraiment efficaces ?

3.2.3.1. L’indépendance de la BC, une condition de son efficacité

3.2.3.1.1. Les conditions théoriques de l’indépendance

3.2.3.1.2. Pourquoi vouloir l’indépendance de la BC ?

3.2.3.2. Toutefois, l’indépendance des BC n’est une condition ni nécessaire ni suffisante pour lutter contre l’inflation

3.2.3.2.1. Nuancer la causalité entre l’indépendance de la BC et lutte efficace contre l’inflation

3.2.3.2.2. L’indépendance de la BC peut être contreproductive

3.2.3.2.3. Ce qui justifierait la restriction de l’indépendance de la BC ?

3.2.3.3. Questionner l’objectif de la BCE ?

3.2.3.3.1. Un objectif trop restreint ?

3.2.3.3.2. Quelques pistes