
1. Comment échange t-on ? La régulation du C.I : pourquoi ?
1.1. Qu’est ce que « réguler » implique ?
1.1.1. Réguler : ni « réduire » ni « augmenter » le C.I
1.1.2. Qui s’en charge ?
1.1.2.1. Les institutions internationales en charge des questions commerciales
1.1.2.2. Les institutions internationales en charge des questions monétaires et financières
1.1.2.3. La régulation ne passe pas seulement par les institutions : la prise en compte des États
1.1.3. La régulation est-elle nécessaire ?
1.2. La régulation de la mondialisation par les institutions internationales (GATT puis OMC) : quels objectifs initialement ?
1.2.1. Evolution GATT -> OMC
1.2.2. Zoom sur les ACR
1.2.3. Dernier objectif de l’OMC : encadrer les conflits commerciaux entre pays membres de l’OMC.
1.2.3.1. But de l’ORD : régler les différents
1.2.3.2. Une possibilité de faire appel des décisions de l’ORD
1.2.3.3. Quelles décisions peut prendre l’ORD ?
1.3. Une régulation internationale aujourd’hui en panne : l’inefficacité de l’OMC
1.3.1. La remise en question des objectifs de l’OMC
1.3.1.1. la remise en question du multilatéralisme et des bonnes pratiques recommandées par l’OMC. Le cas US
1.3.1.2. L’essor des ACR ou la remise en question du multilatéralisme
1.3.1.3. Une institution qui permet la croissance ?
1.3.2. Les critiques des règles de fonctionnement de l’OMC : une institution périmée en crise structurelle.
1.3.2.1. 1er défaut structurel : OMC basée sur la règle du consensus.
1.3.2.2. 2e défaut structure : la « clause de la nation la plus favorisée ».
1.3.2.3. 3e défaut structurel : le fonctionnent de l’ORD.
1.3.3. Une institution incapable de résoudre les tensions entre PDEM/PED
1.3.3.1. des tensions consubstantielles à la naissance de l’OMC.
1.3.3.2. Les points de discorde entre PDEM et PED
1.3.3.2.1. Désaccord des PED :christmas_tree:
1.3.3.2.2. Désaccord des PDEM
1.3.3.3. Une institution incapable de prendre en compte les enjeux contemporains ?
2. Repenser l’OMC ?
2.1. Repenser les règles de fonctionnement de l’OMC ?
2.2. Dépasser cette gouvernance « en silos » ?
3. Qui échange ?
3.1. Les consommateurs
3.2. Les "Nations" (assimilées aux FMN)
3.2.1. Evolution de la répartition géographique des firmes puissantes au sein du C.I → évolution, des « nations » puissantes
3.2.2. Peut-on confondre « firmes » et « nations » dans l’analyse du CI ?
3.3. Les entreprises
3.3.1. Les "entreprises indépendantes"
3.3.2. Les FMN
4. Qu'est ce qu'on échange à l'international ?
4.1. Le contenu des échanges : des biens primaires, des biens manufacturés, des services
4.2. Il y a des flux de f(L) -> chrono historique
4.3. Déterminer sa spécialisation dans la production et l’échange des biens et de services "spécialisés"
4.3.1. Par les différences de coûts qui dépend des écarts de productivité entre pays (Smith, Ricardo, HO)
4.3.2. Expliquer le C.I autrement que par les A-C.
4.3.2.1. Le poids de la Demande des consommateurs explique l’échange entre pays similaires.
4.3.2.2. La prise en compte des rendements d’échelle pour expliquer le C.I intrabranche
4.3.2.2.1. Internes
4.3.2.2.2. Externes
4.3.2.3. L’analyse géographique
5. Pourquoi traverser une frontière ?
5.1. Pourquoi exporter ?
5.1.1. S’enrichir, la première justification du C.I qui marque durablement la pensée économique.
5.1.2. Les impacts positifs du C.I sur la croissance : de la théorie aux faits.
5.2. Pourquoi Internaliser ?
5.2.1. « Faire soi-même » (à l’étranger) : une stratégie ancienne.
5.2.2. A quelles conditions la stratégie d’internalisation est-elle profitable ?
5.2.3. Faut-il internaliser à l’étranger, ou internaliser sur le sol domestique puis exporter ?
5.3. Où installer sa production ?
5.3.1. Choisir le territoire d’implantation de façon à réduire les coûts de production
5.3.1.1. Exploiter les A-C
5.3.1.2. Bénéficier d’externalités positives, via des effets d’agglomération par exemple
5.3.1.3. Profiter de subventions ou de dépenses publiques et/ou s’extraire de réglementation nationales
5.3.2. Se rapprocher du marché étranger
5.3.2.1. Pour réduire les coûts de transports
5.3.2.2. Pour contourner des barrières protectionnistes
5.3.2.3. Pour répondre à une préférence nationale marquée de la part des consommateurs
5.3.2.4. Pour une meilleure adaptation des produits aux marchés locaux
5.3.2.5. Pour pénétrer un marché potentiel
5.3.3. Autres motivations pour l’internationalisation : quelques garantis de succès
5.3.3.1. Absence de concurrents sur le territoire étranger
5.3.3.2. Sécuriser les approvisionnements : matières premières à proximité (et absente sur le territoire domestique)
5.3.3.3. Qualité des institutions
5.3.4. Une certaine proximité "culturelle" entre le pays d’accueil et le pays domestique
5.4. Entre "faire faire" et "faire soi-même" : les différents degrés d’internationalisation des activités marchandes (Williamson,Les institutions de l’économie (1994)
5.4.1. Décider de faire faire : externaliser.
5.4.1.1. Déléguer la tâche à un sous-traitant totalement indépendant
5.4.1.2. Cession de licence
5.4.1.3. La franchise
5.4.2. Faire soi-même : internaliser la production
5.4.3. Faire un mix : c’est l’alliance stratégique.
6. Comment échange-t-on ? A quelles conditions « pratiques » le CI est-il possible ?
6.1. Le rôle des progrès dans les transports et dans les communications
6.2. Historique des mesures protectionnistes et libre-échangistes
6.2.1. Libre-échange et protectionnisme avant la première Mondialisation
6.2.2. Fin XXe – Début XXe (1er Mondialisation)
6.2.3. 1er phase de la 2nd Mondialisation
6.2.4. Depuis les années 1980
7. Comment échange-t-on ? Les conséquences du libre-échange et du protectionnisme
7.1. « Le libre-échange, une théorie sans réalité, et le protectionnisme une réalité sans théorie » ?
7.1.1. Le L-E: «une théorie sans réalité»?
7.1.2. Le protectionnisme : « une réalité sans théorie » ?
7.1.3. Deux pratiques en réalité imbriquées
7.2. Libre-échange et protectionnisme : des effets contrastés
7.2.1. Avantages du libre-échange dans les théories et dans les faits
7.2.1.1. 4 effets pour les consommateurs
7.2.1.2. Convergence des coûts des facteurs
7.2.1.3. ↘Inégalités entre pays
7.2.2. Inconvénients du protectionnisme (et donc d’un C.I limité).
7.2.2.1. Entrave le C.I, empêche les avantages du C.I de se déployer.
7.2.2.2. Le protectionnisme est un choix sous-optimal (dilemme du prisonnier)
7.2.2.3. Le protectionnisme est coûteux en bien être
7.2.3. Pourtant, le protectionnisme semble bien pouvoir se justifier : les avantages du protectionnisme (et donc d’un C.I limité)
7.2.3.1. Dans les théories : P éducateur, nouvelles théories du C.I
7.2.3.2. Il n'est pas si coûteux en bien être
7.2.3.3. Dans les faits : va de paire avec périodes de forte croissance, justifié si préoccupations sociales et écologiques