
1. L’OBJET DU DIAGNOSTIC
1.1. IDÉE REÇUE
1.1.1. Diagnostic
1.1.1.1. Consiste en la determination de la nature de la maladie du patient
1.1.1.2. Diagnostic
1.1.1.2.1. Perçues comme une explication causale
1.2. En réalité
1.2.1. Diagnostic NON EXPLICATIFS
1.2.1.1. DIAGNOSTIC PAS LA FONCTIONS DE TROUVER LA CAUSE DE LA MALADIE
1.2.1.2. Conditions idiopathiques
1.2.1.2.1. Affection dont la cause est inconnue
1.2.1.3. Conditions non spécifiques
1.2.1.3.1. Cas où ça sert à rien d’allier chercher plus loin ( cause de la maladie )
1.3. CONCLUSION
1.3.1. DIAGNOSTIC
1.3.1.1. Existence d’un lien entre les diagnostics et le reste de la prise en charge clinique jusqu’au traitement
1.3.1.2. Il ne consiste
1.3.1.2.1. Pas tant à déterminer les causes et les mécanismes de la maladie SI NÉCESSAIRE
1.3.1.3. Car l’identification de la pathologie ne tire pas son rôle dans le traitement ou dans la prévention
2. Validité des tests diagnostiques
2.1. VALIDITÉ DES TESTS
2.1.1. VALIDITÉ FORMELLE
2.1.1.1. Une inférence diagnostic ( conclusion du diagnostic) doit être formellement valide et n’est pas spontanée
2.1.1.1.1. VPP
2.1.2. Cas des tests NON BINAIRES
2.1.2.1. Sensibilité
2.1.2.1.1. Taux de vrais positifs
2.1.2.1.2. Test TRÈS SENSIBLE
2.1.2.2. Spécificité
2.1.2.2.1. Taux de vrais négatifs
2.1.2.2.2. Test TRÈS SPÉCIFIQUE
2.1.2.3. Biais Cognitifs
2.1.2.3.1. Erreur courante
2.2. PERTINENCE DU RAISONNEMENT
2.2.1. Propriétés stratégiques qui entrent en compte dans le raisonnement
2.2.2. CONSIDÉRATIONS À PRENDRE EN COMPTE
2.2.2.1. Qualité intrinsèque du test
2.2.2.1.1. Capacité du test à fournir un résultat à la fois utilisable et fiable
2.2.2.2. Conséquences du diagnostic lui-même
2.2.2.3. Ce que le patient pense de sa maladie
2.2.2.4. Risque de la procédure pour le patine
2.2.2.5. Problématique du coût
3. Décision et subjectivité
3.1. Formalisation des raisonnements
3.1.1. Décision médicale
3.1.1.1. Principes
3.1.1.1.1. Arbre de decision
3.1.1.1.2. Attribution de valeurs d’utilité
3.1.1.1.3. Critique selon ce principe
3.1.2. CONCLUSION
3.1.2.1. Inclusion du patient
3.1.2.2. Difficulté quant a la décision du patient
3.1.2.2.1. Opte plutôt sur des choix perdants
3.1.2.3. Façon dont le médecin présente les alternatives de la maladie
4. Raisonnement clinique
4.1. Réflexion partant de l’observation de la situation spécifique du patient à la proposition de l’effet thérapeutique
4.1.1. Questions complexes
4.1.1.1. Si on demande à un médecin : comment il résonne face à un problème ?
4.1.1.2. Quelle st la méthode et la part de subjectivité du médecin dans la clinique ?
5. Recueil des symptômes de signes
5.1. RECUEIL D’INFORMATION
5.1.1. Transformer la plainte du patient en un problème médical
5.2. Différence entre signes et symptômes
5.2.1. Symptômes
5.2.1.1. Ce que le malade annonce, se plaint
5.2.1.1.1. TJRS CLINIQUE
5.2.1.1.2. SPÉCIFIQUE AU MALADE
5.2.1.2. PEUT DEVENIR SIGNE
5.2.2. Signes
5.2.2.1. Recueillis par le medecin durant l’examen physique du patient
5.2.2.1.1. PAS TJRS CLINIQUE
5.2.2.1.2. Prédéterminé en fonction de la maladie
5.2.3. Observations faites par le médecin
5.2.3.1. Observations intrinsèquement subjectives
5.2.3.1.1. Perceptions faites à la première personne
5.2.3.2. Observations TJRS façonnées par des théories
5.2.3.2.1. Exemple
5.3. Facteurs
5.3.1. Psychologique
5.3.1.1. Pour voir la perception du patient et ce que le médecin veut voir
5.3.1.1.1. Ex : le medecin ne vas pas avoir la meme façon d’étudier une partie du corps sans prendre en compte par exemple de saisons ( hiver, été )
5.3.2. Classe sociale
5.3.3. Dés stéréotypes
5.4. Signes
5.4.1. PAS DE PHÉNOMÈNE PHYSIQUE
5.4.1.1. Relations établis entre le medecin et le patient
5.4.1.1.1. Différents facteurs qui s’appliquent
5.4.1.1.2. Manière de réussir à comprendre le phénomène profond entre le médecin et le malade