LES ENJEUX DU BREXIT SUR LA FRONTIÈRE IRLANDAISE

1. Point politique: en 2016, lors du référendum les Irlandais du Nord ont été 56 % a voté contre le Brexit.

2. Le conflit

2.1. L’Irlande du Nord: partie intégrante du Royaume-Uni

2.2. République d’Irlande: indépendante

2.3. Lors du Brexit, l’Irlande du Nord sortira de l’Union européenne.

2.4. Période de violence: Les troubles: pendant les années 60, jusqu’au années 90 : trois décennies d’affrontements. Avant: Contrôle permanent de la frontière: la police vous arrête, fouer la voiture et faisait sortir tout le monde à la frontière.

2.5. Unionistes Protestants VERSUS Républicains Catholiques

2.6. Bilan: 3500 morts

3. Les différents « points »:

3.1. Point économique: connexion entre les deux Irlandes: Ce sont les premiers partenaires commercial d’un aspects exportations/ importations

4. Le Brexit dans ce conflit:

4.1. Actuellement: libre circulation des biens et des personnes entre l’Union européenne et le Royaume-Uni .

4.2. 300 points de passage à surveiller en cas de brexit sans accord

4.3. Brexit effectués: Irlande du Nord sors de l’Union européenne.

4.4. Une nouvelle frontière se crée: douane et contrôle ➡ ️ mettant un terme à la libre circulation entre l’Union Européenne et le Royaume Uni. Donc entre la république d’Irlande et l’Irlande du Nord.

5. Les conséquences du « Backstop »:

5.1. Le Parlement britannique rejette le Backstop.

5.2. Les défenseurs du Brexit voient le Backstop comme une forme d’union qui ne respecte pas le vote des Britanniques.

5.3. Cet accord est non renouvelable unilatéralement,

5.4. Décision conjointe entre le Royaume-Uni et l’union européenne qui se devait mettre d’accord sur une relation commerciale pour éviter contrôles douaniers sur les frontières.

5.5. Éviter dumping

5.6. Le Backstop fait appel au respect des normes et des règles européennes

5.7. Le statut du royaume uni par rapport à l’Union européenne: Provoque que celui-ci ne pourra pas appliquer tarifs inférieur à ceux de l’Union européenne pour les produits importés hors de l’Union européenne.

5.8. Les Brexiteurs auront une difficulté de négocier des accords commerciaux avec les États-Unis.

6. Raison: les dirigeants des 27 pays de l’Union européenne sont apparus ferme et très unis pendant la négociation ➡️ peur que d’autres pays de l’Union européenne partent.

7. Solution

7.1. Éviter rétablissement dure entre les deux Irlandes ainsi qu'une fragilisation des accords de paix à Belfast en 1998 qui avait mis terme au 3 décennies d'affrontements

7.2. L’union européenne et Theresa may en novembre 2018 mettent en place un accord. Le « filet de sécurité » le « backstop » qui rentre en vigueur lors de la période de transition, sauf si une meilleure solution est trouvée.

7.3. Le Royaume-Uni donc l’Irlande du Nord aussi nous rend plus part aux décisions à Bruxelles

7.4. Le Royaume-Uni a un statut spécial "Territoire douanier unique" avec l’Union européenne

7.5. Produits agricoles/ industriels: la majorité des échanges ne seront pas soumis aux quotas et aux taxes douanières.

7.6. Théorie: libre circulation entre l’Union européenne, et le Royaume-Uni donc entre les deux Irlandes

8. Le Brexit: Contexte

8.1. Référendum le 23 Juin 2016: La population britannique a voté en faveur d’une sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne à hauteur de 51,9 %

8.2. 29 mars 2019: les députés refusent une nouvelle fois l’accord de sortie de l’Union européenne. La troisième fois que la majorité vote contre le texte ➡️

8.3. Humiliation pour Theresa May qui avait même proposé de démissionner si l’accord était adopté pour encourager les députés à voter pour.

8.4. Négociations pendant plus de deux ans avec Bruxelles pour décider concrètement comment le Royaume-Uni va sortir de l’Union européenne ➡️ Une discussion compliquée

8.5. Accord en novembre 2018: L’accord aborde la question des transports aériens, et maritime qui sera impactée, le statut du Royaume- Uni dans l’UE et vice versa, ainsi que les enjeux sur la frontière irlandaise.

8.6. Il apporte des réponses à de nombreux problèmes: fixer le coût de cette sortie à 40 milliards d’euros car le pays s’était engagé sur le budget de L'UE jusqu'en 2020.